1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 808)


    Datte: 30/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    franckdocile au Château - (suite de l'épisode N°737) - soumise Laïs MDE et moi, nous nous dirigeons alors immédiatement vers la noble verge de Monsieur le Marquis et en prenant soin de sortir bien exagérément nos langues, nous commençons à lécher le membre encore mou. Celui-ci ne prend que peu de temps à gagner en volume et raideur et c'est bientôt un beau membre bien raide qui s'érige entre soumise Lais MDE et moi. Nos langues vont, viennent de toute part sur haut de la hampe, avec le bout de notre appendice buccal en tournoyant tout autour du gland violacé. Puis nous descendons sur toute la longueur de la verge raidie jusqu’aux couilles que nous léchons, aspirons avec avidité et application, afin de se tenir à notre tâche première qui reste la seul Satisfaction du Maître. Car nous sommes maintenant trop bien éduqués pour commettre la moindre erreur. Nos mains n'entrent jamais en contact avec la Noble verge sans une exigence de Sa part. Le parcours incessant de nos langues sur la queue dressée me fait penser à un véritable ballet de danseuses glissants sur la scène pour réaliser leur chorégraphie sans jamais un pas de travers. Aucuns des deux soumis, que nous sommes, ne semblent se lasser de parcourir ainsi inlassablement ce Vit qui ne cesse de gonfler et de se raidir encore plus fort. Le Châtelain prend maintenant plaisir à se promener d'un pas nonchalant dans le bureau. Nous éprouvons alors beaucoup de difficultés à suivre la bite du Maître en faisant attention de ne pas ...
    ... gêner sa marche ni de toucher son corps avec une partie du notre. Ce petit manège dure juste quelques minutes puis Monsieur le Marquis s'arrête subitement de marcher. Nous continuons jusqu'à ce qu'il nous ordonne de nous arrêter, de nous relever et de nous mettre face à face juste devant lui : - Allez, Mes putes, embrassez-vous, roulez-vous une grosse pelle bien baveuse comme les grosses salopes que vous-êtes ! Nos bouches se ruent alors l'une contre l'autre sans moment de latence. Nos langues s'entremêlent et nous nous embrassons comme deux amants fougueux. Cette femme soumise est superbe avec un corps parfaitement dessiné, à la silhouette harmonieuse, une poitrine ferme aux tétons dressés, un sexe épilé laissant voir son abricot joufflu, des fesses parfaitement arrondies et ce corps sublime m'aurait beaucoup excité dans d'autres circonstances mais cela n'a cependant rien à voir dans mon excitation. En effet la seule chose qui occupe et excite mon esprit à cet instant précis est la présence de Monsieur le Marquis à quelques centimètres en train de nous observer de ses yeux bleus au regard Dominant. Ma seule préoccupation est d'embrasser la belle femelle soumise de la manière la plus perverse possible pour satisfaire l’exigence du Maître. J'ai l'impression qu'il en est de même pour ma sœur de soumission qui m'embrasse, sans pudeur, sans gêne mais pour qui, je ne suis sans doute, pas grand-chose. Je sais qu'elle aussi ne fait cela que dans le but d'obéir et apporter une entière ...
«1234»