1. Les joies érotiques de la randonnée cycliste


    Datte: 30/01/2018, Catégories: A dormir debout,

    ... soixantaine d'années à peine, aux cheveux argentés coupés court, qui grignotait un sandwich. - Alors, la nouvelle, on découvre la randonnée cycliste ? dit-elle, un sourire en coin qui en disait long. - Oui, c'est étonnant, répondit Agnès, qui se présenta. - Moi c'est Martine. Je suis une vieille routière de ces randonnées. - Et vous n'allez pas... dans le bois ? - Non, plus maintenant. J'en ai beaucoup profité mais à mon âge (j'ai soixante ans), il faut choisir : baiser ou pédaler. Si je me faisais sauter, j'aurais du mal à rentrer en vélo. Mais telle que vous me voyez, je suis en feu. Je me suis masturbée en arrivant mais ça ne m'a pas calmée. On se tutoie ? - Oui bien sûr. - Tout à l'heure en rentrant, je vais sauter sur mon mari, il a intérêt à être en forme. Seule une vraie bite peut me calmer, comme les filles dans le bois en ce moment. Mais au fait, toi, tu n'as pas besoin aussi ? - Euh, si, mais je n'ai pas mon mari sous la main. - Ce n'est pas un problème, ça. Il y a des hommes ici pleins de vitalité qui peuvent te soulager. - Mais leurs femmes, leurs copines ? - Bof, elles ont l'habitude et d'ailleurs, elles ne se gênent pas elles-mêmes pour se passer leur julot. On est tous libertins ici. Un peu par la force des choses car la selle, c'est terrible pour la fidélité. - J'avoue que je n'avais pas vu le vélo comme ça. - C'est la position qui veut ça. La femme, quand elle se penche sur le guidon, met ses parties intimes en contact direct avec la selle et à la longue, ...
    ... cela provoque une intense excitation. Peu de femmes y échappent, en tout cas pas moi, même à mon âge. Je dirais même, surtout à mon âge. - Et pourquoi ? - Parce qu'à force, on évacue tous ses tabous et on sait qu'on n'a plus de temps à perdre. J'adore baiser et plus je baise, plus j'aime baiser. D'ailleurs, j'arrête d'en parler car je vais être obligée d'aller au bois. Sur ces entrefaites, les couples sortirent peu à peu du bosquet, le visage réjoui et les vêtements rajustés. - Je meurs de faim, s'écria Maud en se jetant sur ses sandwiches extraits de son sac à dos. Sandrine sortit un peu plus tard en compagnie de Pascal, des deux jeunes cyclistes et de Julie et Fabienne. Visiblement satisfaits eux aussi. Sandrine s'assit à côté d'Agnès pour manger elle aussi. - Ouf, ça va mieux, excuse-moi de t'avoir plantée là mais il me fallait une bite à tout prix. - Et... tu l'as trouvée, apparemment. - Oui, Pascale m'a prêté son mari. Elle avait déjà joui et Pascal était encore gaillard. Elle a 53 ans et voulait garder un peu d'énergie pour terminer la rando. Mais Pascal a vraiment assuré, une vraie mitraillette. Remarque, Pascale n'avait rien à me refuser vu qu'elle a bien profité de mon mari aussi en d'autres temps. - Je suis vraiment épatée que cela vous pose aussi peu de problèmes, ces échanges. - C'est parce que c'est dans le cadre de la rando. Une fois rentrés chez nous, on se comporte comme des couples normaux. Il ne me viendrait pas à l'idée d'aller baiser chez mes partenaires ...
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