Chahutages - Histoires de Sexe

Chahutages

Pour rigoler avec Bernard, on se chamaillaient, se pousser, se pincer, se bagarrer pour jouer à qui serait le plus fort. Nous sommes dans sa chambre de maison à la campagne. Nous étions de même corpulence ; petit gabarit, imberbe, cheveux bouclés. Un jour Bernard sans le faire exprès effleura mon sexe. C'était un geste anonyme qui m'émoustilla et me fit bander aussitôt. "Oh la, tu as vu ta bosse ? C'est moi qui te fais ça ?". Je n'ai pas répondu mais impossible de calmer ma bandaison. je lui répondis "excuses-moi, je ne peux me contrôler". "Pourquoi veux tu contrôler, c'est pas honteux ? "Si! lui répondis-je" "Que ce soit un garçon qui me fasse bander, j'ai honte". "Oui, peut-être que de te voir comme ça me fais bander aussi" "regarde". Bernard baissa son short et fit ressurgir son sexe raide droit devant.  "Vas-y fais comme moi, on pourra les mesurer si tu veux ? Moins gêné, je baisse mon short et à mon tour exhibe mon sexe tendu. Bernard est subjugué et son regard ne quitte pas mon sexe. "Tu permets que je touche ?" "Non, on est pas des pédés". "Allez, laisse moi toucher, je n'ai jamais touché d'autres que la mienne". Je n'ai pas eu le temps de réagir que Bernard s'est déjà emparé de ma queue et la caresse doucement. Au bout de deux minutes, j'avance a main et j'attrape son sexe raide. J'ai la fièvre des premiers émois sexuels et je caresse et décalotte. "C'est bon" dit-il. "puis "Tu aimes ?" "Oh oui, c'est très bon, j'adore !".
Je m'assois sur le bord de son lit et ...

... finit d'enlever slip et short pour me retrouver complètement nu. Bernard m'imite et en deux mouvements se retrouve dans le même appareil que moi, c'est à dire entièrement nu. Nous commençons par nous caresser sur tout notre corps ; le cou, la poitrine les fesses, les cuisses tout en passant sur notre tige tendue. Nous nous caressons et nous nous branlons, c'est très bon. Dans la fièvre qui nous anime, je donne un coup de langue sur son bout à moitié décalotté. Il me pousse pour que nous nous retrouvions tête bêche et chacun lèche, caresse, décalotte l'autre puis nos bouche gourmande nous oblige à gober le gland de l'autre. Bernard est doux et commence des va et vient et je fais pareil. Tout en nous suçant, nous nous caressons les fesses, nous sommes aussi imberbes l'un que l'autre. Je mets beaucoup de salive pour que ma bouche glisse bien. Sa queue est engloutie dans ma bouche et je sens la mienne aspirée par la sienne. Je fais tout pour faire durer le plaisir et ralenti la cadence. Je joue des lèvres et de ma langue sur son gland rond et enflé. Il décroche pour me dire "vas doucement, je vis jouir". Je ne l'écoute pas, nos plaisirs sont mutuels et je ne veux pas m'arrêter. Le plat de ma langue râpe son frein, je me régale. Il pousse un hurlement et je reçois plusieurs saccades de jus dans le fond de ma gorge. Je découvre le goût et j'avale tout au fur et à mesure. Lui a ralenti le pompage au moment où il gicle, puis vidé, il reprend sa suce lentement, très appliqué. C'est à mon ...