À l'étude - Histoires de Sexe

À l'étude

Pensionnaire, je me retrouvais en étude après les cours. Je m'installais au fond pour être tranquille. Le soir il y avait peu de monde mais tout de même trop à mon goût. Le pion, un étudiant potassait ses cours et jetait un petit coup d'œil de temps en temps et laissait les élèves tranquilles.
Un jour Aurélien m'a demandé de venir à côté de moi. Nous étions en mai et nous portions des shorts. Aurélien était mignon, menu et des cuisses fines bien faites. Ses fesses paraissaient en harmonie avec le reste de son corps d'adolescent. S'il avait eu de la poitrine on aurait pu croire que c'était une fille. Il faisait très innocent, les yeux toujours ds le vague et des lèvres toujours entrouvertes. Quand il s'est installé près de moi, nos cuisses de sont touchées et ça a déclenché chez moi une envie.  Nous avons discuté beaucoup et pour ne pas faire de bruit nos têtes étaient presque à touche-à-tout. Je sentais son haleine douce et agréable ce qui provoqua chez moi une excitation. Toujours dans la conversation à messe basse, il se rapprochais tendrement et ça a provoqué chez lui les mêmes envies. 
Sur cette dernière rangée, il n'y avait que nous. Tout en répondant à ses questions je feignais de travailler. Ils nous restaient une bonne heure à tuer. Je posais donc ma main sur le genou qui collait au mien. Aurélien se tut mais ne fit pas de geste de recul, au contraire, il se donnait et écarta son autre genou. Personne ne pouvait voir ma main glisser sur l'intérieur, le gras de sa ...

... cuisse. Ma main remonta vers le haut, Aurélien avait l'air d'apprécier et sa respiration plus profonde annonçait un plaisir certain. Le bout de mes doigts arrivait à l'élastique de son slip. Mon camarade était figé et attendait impatiemment que ma main surmonte l'obstacle du sous-vêtement. Pas serré j'arrivais à passer mes doigts aisément et je fus en contact direct avec ses boules lisses. Insistant pour aller plus loin tout en restant discret j'arrivais à son sexe fin et très dur. Aurélien ouvrait la bouche et haletait et faisait le maximum pour ne pas lâcher de gémissements, mais c'était limite. Avec beaucoup d'attention j'enserrais son sexe et me mis à le décalotter. Machinalement son bassin s'était avancé sur le bord du siège pour me donner plus d'amplitude. Je branlais tout doucement ce sexe à peau fine, fin et bien tendu. Entre deux mouvements je passais le plat de mon pouce sur le frein et le méat. Je sentais Aurélien sur le point d'exploser, son sexe sursautait, son bassin ondoyait. Il se cramponna au pupitre et d'un coup lâcha plusieurs jets de sperme dans ma main non sans avoir lâché un petit gémissement de coït. Pour lui donner le maximum de plaisir, je continuais m'a caresse, le vidant complètement de son jus. D'une main, il écarta la jambe de son short pour que je retire la mienne sans faire goutter sa semence. 
Une fois ma main retirée, enduite de sperme, je prenais un mouchoir dans l'autre poche pour m'essuyer. J'aurais bien voulu lécher mes doigts mais pour la ...