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Moins par moins donne plus
Datte: 31/01/2018, Catégories: fh, couple, cocus, vacances, plage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, confession,
... l’amour dans le noir. Sans être exhibitionniste, je ne suis pas prude au point de le faire sans lumière. Mais il faut reconnaître que l’absence de vue exacerbe les autres sens. Savoir aussi que l’homme avec qui je viens de coucher n’est pas mon mari et qu’en plus il ne le sait pas. Notre couple se désunit. Nous voici à nouveau allongés l’un à côté de l’autre. La chambre est silencieuse. Silencieuse, mais mal isolée. Les vieilles maisons ont des murs en papier. Et les murs, ou le parquet transmettent un bruit sourd. Un bruit, un grincement. Ruis me prend la main. Je comprends pourquoi. La maison résonne maintenant d’une onde cadencée. Un bruit comme… Mais oui, c’est le lit de la chambre à côté. Ma chambre. Ma chambre où Roxane est avec mon mari. Mon lit qui grince et qui transmet au reste de la maison la cadence du couple qui baise. Pierre est manifestement en train de posséder mon amie. Il croit me baiser, mais en réalité, c’est Roxane. En tout cas, il y va de bon cœur. Il y va de bon cœur peut-être parce qu’il sent que sa femme est différente ce soir. Je dois devenir une femme dépravée, car cela me plaît. Savoir que Pierre prend son pied avec une autre sans qu’il s’en doute est presque une jouissance. En serrant la main de Ruis, je lui transmets mon émoi. Mais lui doit penser que c’est juste le parce que j’entends des amis faire l’amour. À côté, manifestement le couple s’emballe. Roxane ne va pas regretter d’avoir proposé cet échange. Moi, je serre de plus en plus fort ...
... la main de Ruis. Je la serre si fort que sa bague finit par me faire mal. C’est ridicule. Pourquoi ne pas… Le sexe que je découvre est une tige dure qui repose sur le ventre. Ruis, comme moi, est excité par nos voisins et même si lui ne se doute pas de la réalité, cela le fait bander. Je suis un peu jalouse. Je me redresse et enjambe mon voisin, mais cette fois-ci, c’est en cavalière que je m’installe. Il est si raide et je suis encore si humide que je me pénètre sans difficulté. Sa queue palpite dans mon vagin. Il est gros. Il est long. Mes fesses trouvent ses hanches. Je me penche vers lui. J’ondule du ventre pour le masser de l’intérieur. Sa main enserre ma tête, mais c’est pour me rapprocher. Mes lèvres découvrent les siennes. Sa langue bataille avec ma langue. Je dois sentir le foutre, mais cela ne lui déplaît pas. Mais je me redresse. Je veux me prendre sur lui. Je m’active. Il me caresse la poitrine. Je me caresse le clito. La chambre résonne de mes mouvements. Le lit grince. Je me retiens de parler. Ruis gémit doucement. Ça me plaît. Je le chevauche. Je me possède sur lui. Je me baise avec son bâton si vigoureux. J’espère que Roxane profite comme moi j’ai profité de sa bourre. Je force le trait. Je monte et descends avec la force d’un marteau qui retombe sur la pièce rougeoyante. Ce n’est pas moi. Je suis dans la peau de Roxane. Enfin mon amie, telle que je l’imagine dans ces moments-là. Je brûle de l’intérieur. Mes liqueurs ne suffisent plus à me lubrifier. Je vais ...