1. Soirée entre filles 2


    Datte: 08/07/2017, Catégories: fh, couple, BDSM / Fétichisme Transexuels Oral fgode, hdanus, hgode,

    ... nos vêtements, la chaleur de son corps. Son souffle me caresse la nuque quand sa bouche n’est pas occupée à me mordre le cou. Ses mains appuient sur mes épaules, comme pour mieux m’écraser sur le canapé, pour mieux me faire sentir qui est le maître. Elle se déchaîne littéralement et ma main frénétique essaie tant bien que mal de suivre le rythme. Je sens le plaisir qui monte dans mon sexe, tandis que mes intestins en feu en redemandent. Je me cambre pour lui permettre de me pénétrer plus profondément encore si cela était possible. Ce geste de soumission est particulièrement bien perçu car elle augmente encore la vitesse de ses pénétrations quand soudain mon cerveau explose dans une orgie de flammes et de couleurs tandis que mon sexe se déverse entre mes doigts crispés sur le plaid qui recouvre le canapé. Anéanti par le plaisir, je ne suis plus qu’une poupée de chiffon sans réaction dans laquelle ma femme enfonce un sexe qui se prolonge dans sa chatte. Elle me malmène les fesses, je ne réagis plus, elle me viole sans vergogne, à la recherche unique de son plaisir. Elle s’en donne à cœur joie et semble se venger des humiliations que font subir les machos aux femmes. De toutes ces vexations verbales, de tous ces phantasmes imposés, de toutes ces violences physiques qui font régulièrement la une des quotidiens et que ces abrutis de coqs imbus d’orgueil s’autorisent. Il est vrai que mon épouse m’a toujours refusé la sodomie, au nom de la dignité de la femme. Est-elle digne en ce ...
    ... moment, alors qu’elle sodomise son homme maquillé et encore vêtu d’une robe, d’une guêpière et de bas ? Allez savoir…Mais assurément, le plaisir à pris le pas sur ses principes. Elle me possède méthodiquement, profondément, avec la régularité d’un métronome. Allongé sur le canapé, toute fuite m’est impossible, et je ne peux que subir ses assauts. Cela dure je ne sais pas combien de temps quand soudain à son tour elle jouie bruyamment, les ongles plantés dans mes épaules. Son ventre collé à mes fesses, j’ai la sensation de sentir les spasmes de sa jouissance se répercuter dans mes reins malmenés. Nous restons alors étrangement enlacés, le double gode toujours fiché en nous. Tandis que nos jambes gainées des mêmes bas se caressent doucement, elle m’embrasse doucement le cou et les joues. — Mon chéri, c’était merveilleux…Je t’aime…— Je t’aime, mon amour. Nous nous embrassons alors à pleine bouche et la sueur de nos visages qui coule doucement se mêle à nos salives. À l’issue d’un fragment d’éternité, nos langues se séparent et elle pose sa tête sur mon épaule. — Ne bouge pas mon cœur, je veux m’endormir ainsi. Elle étend la main et éteint la lampe de chevet, qui curieusement proche de nos ébats a malgré tout résisté à la violence de notre étreinte. Dans le noir, apaisé, je sens le corps chaud de ma femme qui se détend lentement. L’objet planté dans mes fesses, ne me fait plus à présent, ni bien ni mal. Il est juste là. Je sais qu’il y reviendra, que j’en redemanderai, et que ma ...