1. Mel ou l'histoire d'un dressage chapitre


    Datte: 01/02/2018, Catégories: Anal Hardcore, Sexe Interracial,

    ... cracher mon jus dans sa bouche de pute ». D’un geste soudain j’ordonne à la métisse de se retourner pour me sucer. Je retire la capote et lui enfonce ma queue direct dans la bouche. Je lui baise la bouche pendant que Mel poursuit ses incantations. « Crache lui tout dans la bouche ! oh oui mon Maître, crache tout dans sa bouche de pute, sa bouche de salope à sperme ».Le jus coule le long de ses lèvres. La métisse tente discrètement de recracher le sperme qui lui rempli la bouche. Je n’aime pas ça mais c’est le lot de ces filles qui vous affirment, avant que vous ne les baisiez, les yeux dans les yeux, qu’elles avalent mais qui, au moment fatidique, recrachent le jus ou pire, ferment la bouche pendant que votre queue expulse la mayonnaise. Une pute ça fait la pute ! ça ment comme un arracheur de dents. Je le sais, mais c’est toujours avec une certaine frustration que je vois couler mon foutre hors de la bouche d’une femme. Du coup je sors ma bite de cette bouche qui refuse mon sperme et l’enfourne brusquement dans celle de ma soumise toujours accroupie à mes pieds.- Suce ! aspire le jus et avale négresse, lui ordonnais-je violement et lui tenant la tête par les cheveux.Les joues de ma soumise se creusent par l’effort qu’elle fait pour aspirer les dernières gouttes de foutre. Sa langue fouille les recoins du gland pendant qu’elle me fixe des yeux comme pour protester contre le peu de jus qu’elle parvient à recueillir. La métisse qui a comprit que s’en était terminé pour elle, ...
    ... réajuste sa robe et son string tout en admirant, du coin de l’œil, la prouesse de cette fille qui s’acharne à assécher les couilles de son client.- Elle prend tout dis-donc, lâche-t-elle en ajustant son soutien-gorge.- C’est une vraie chienne soumise, répliquais-je. Je la nourrie de mon jus et elle aime ça.Mel me montre la bouche grande ouverte, les quelques gouttes de foutre qu’elle a recueillit laborieusement. Géné par la faible lumière que diffusent les réverbères je constate néanmoins qu’elle n’a aspiré qu’une infime dose de sperme frais dont quelques gouttes seules brillent sur sa langue tendue. « Avale » lui ordonnais-je et me reboutonnant. Les bollocks vides je n’ai plus rien à faire le long de ce boulevard parisien. Des voitures, en maraude, conduites par des hommes seuls passent et repassent derrière notre trio toujours abrité des regards dans l’embrasure du porche du garage auto. Je me retourne vers ma soumise alors que la métisse récupère son sac et nous quitte pour aller reprendre son tapin quelques dizaines de mètres plus loin.- Tu n’as pas reçu assez de foutre ce soir. Une pute comme toi se doit d’en prendre plus que ça. Tu vas donc rester faire la pute ici et te faire baiser par des clients, comme une chienne que tu es. Je t’ordonne de prendre plein de jus de couilles et quand tu en auras pris suffisamment pour que j’estime que tu as mérité d’être une soumise et que tu as payé pour tes fautes envers ton Maître, je te téléphonerai pour que tu rentres à la maison. ...
«12...6789»