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Kidnapping et Soumission Tome 08
Datte: 02/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme
... assouplissements bienvenus et les massages prodigués par le Maître japonais, Sweet Pussy et N°1 furent de nouveau sur pied. On leur apporta une sortie de bain pour les habiller. La maquilleuse reposa tous leurs piercings. « Maintenant, on range! Et direction Paris. » La voix de Marc Dorcel était tellement puissante qu'elle raisonnait dans le hangar désaffecté de la zone industrielle. Toute l'équipe de tournage s'affaira pour ranger le matériel. Une fois chose faite, tout le monde monta dans des fourgons ou des minibus direction Paris. Après quelques heures de route, l'équipe arriva dans un immeuble du quartier Pigalle. La flotte de véhicules passa le portail ouvrant sur une petite cour. Marc descendit de son véhicule et marcha en direction d'une porte sectionnelle. Il actionna la commande murale et celle-ci se leva dans un bruit de ferraille. Les véhicules passèrent un à un la porte et se stationnèrent dans le hangar. L'équipe du tournage s'affaira de suite et prépara le matériel. Les accessoiristes descendirent les flightcases et les trois caisses en bois. La maquilleuse ôta de nouveau tous les piercings et reposa leur perruque. « Allez les filles, on se remet au travail! Maître Shibari, merci de remettre les filles en hogtie comme à Marseille. » La maquilleuse s'affaira de suite à enlever les piercings des actrices et les remaquilla. L'actrice, N°1 et Sweet Pussy attendirent leur tour pour être ligotées. Sweet Pussy se positionna sur un panneau de la caisse et Maître ...
... Shibari commença à attacher Sweet Pussy. Un accessoiriste apporta des photos prises lors de la scène de bondage pour éviter trop de différences dans le bondage. Lorsque les trois actrices furent en hogtie et « mises en caisse » dans le fourgon, Marc Dorcel se remit derrière sa caméra : « Action! » Le fourgon arriva dans le hangar et les acteurs jouèrent leur rôle. Les caisses furent descendues du fourgon et ouvertes. Lorsque la lumière se fit les otages firent comme si elles n'avaient pas vu la lumière depuis longtemps en clignant des yeux pendant quelques secondes. Les caïds libérèrent de leurs liens les filles. Alors que les trois otages assouplissaient leurs membres suite à leur immobilisation, le parrain de la mafia russe entra dans le hangar. Il était vêtu d'un costume trois pièces noir. Un chapeau couvrait son crâne que l'on devinait dégarni. Il fumait un gros cigare. « Elle d'abord. » fit le parrain en montrant du doigt Douchka. Deux sbires la saisirent par les bras pour l'amener devant leur chef. « Quel est ton nom? » « Douchka, Monsieur. » « C'est Maître quand tu m'adresses la parole! » Cria-t-il. « Oui Maître. » fit Douchka d'une voir craintive. Le parrain marchait de long en large devant les trois otages et tirait sur son cigare, le parrain s'arrêta devant Douchka. « Tu as le choix Douchka. Ou tu fais la pute pour moi à Paris dans ce quartier ou il va t'arriver quelques ennuis. » « Non, jamais je ne ferais la pute, je suis gogo dancer pas pute! » Le parrain tira sur son ...