1. Le fol anniversaire d'Antonia (3)


    Datte: 02/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Au tiers de mon sexe, je commence mes va-et-vient. Doux, puis plus rapides et petit à petit plus profonds. Viviane tourne enfin la tête vers moi, souriante. C’est à ce moment-là que nous entendons la clef dans la serrure. Je prends vivement le dessus de lit et le rabats sur nous. Samuela. Confuse, elle s’excuse avant de nous reconnaitre. Elle rit et referme. Viviane souffle : — Bon réflexe ! Je nous découvre et reprends ma tâche. J’excite le clitoris de Viviane qui lève la jambe. Elle jouit juste avant moi. Elle dit : — Je crois que j’aurai envie de rentrer avec toi ce soir. Je ris. Nous nous rhabillons. Avant de sortir de la pièce, elle me dit qu’elle serait ravie de remettre ça avec une préparation adéquate. Elle sourit, rougit un peu et dit : — On aurait dû coucher ensemble quand on était ados. — Je ne t’intéressais pas ! Je me souviens de l’année de nos 18 ans. Je fantasmais tes seins. Elle rit. — J’ai pris trois bonnets en deux ans. A 16 ans, j’avais encore un bonnet A. A 18, j’achetais du D. Mais bon, j’évitais tous les garçons. — Comment ça ? — Aucun petit ami avant mes 20 ans. — Des flirts au moins ? — Un seul. Un soir. Tu le connais, je pense. Ce dont parle Viviane s’était déroulé au terme d’une soirée d’été entre copains vers l’école du village où nous avions l’habitude de nous réunir. Nous avions 18 ans. Vers 2h de matin, nous n’étions plus que trois et j’avais raccompagné Viviane à pied jusqu’à chez elle. Dans l’allée de son immeuble, nous nous étions embrassés ...
    ... et je l’avais longuement pelotée, à travers son top qu’elle n’avait pas voulu retirer. — Tu veux dire que j’étais le premier ? — Premiers baisers et premières caresses, oui. — J’étais persuadé que tu avais bien plus d’expérience que moi ! Elle rit. rmwrvvgp — Je t’avais bien ignoré après. — Et comment ! Par contre, j’ai longtemps gardé le souvenir de ce moment. Tes seins étaient tellement durs pour leur taille ! J’avais regretté de ne pas les avoir vus. — Cet été-là, je n’ai pas été à la piscine. Ça me gênait trop. Ils étaient énormes et tenaient tout seuls. C’en était presque douloureux. Ils étaient très durs, effectivement. Je ris à mon tour. Elle ajoute : — Je m’étais prise en photo seins nus dans le miroir à cette période. Si tu es sage, je te les montrerai. — Je ne suis pas super sage, là ?!!? Viviane m’embrasse et nous descendons à la fête en nous séparant rapidement. Samuela vient évidemment me trouver ironisant sur le fait que Viviane et moi n’avions officiellement eu qu’une relation d’un soir. En riant, je lui réponds : — C’est le cas. On va dire que nous sommes de "proches amis". Samuela rit puis, plus mystérieuse, elle me demande : — Et nous, nous sommes toujours amis ? — Oui, bien entendu. Elle sourit : — Je voulais dire "amis proches"… Je ne réponds pas, me contentant d’un large sourire. Et dire qu’il y a deux jours, je me demandais si je n’allais pas m’emmerder comme un rat mort à cette fête… Entre temps, je mange quelques ailerons de poulet marinés absolument ...