Chez le physio - Première partie
Datte: 02/02/2018,
Catégories:
h,
jeunes,
médical,
piscine,
Masturbation
confession,
... longs shorts. Un beau cul bien haut et bien musclé, avec les facettes de chaque côté. Côté face, toujours cette grosse bite, bien droite comme un I qui surplombe une grosse paire de couilles. Une belle touffe de poils clairs recouvre son pubis et ses bourses. Un bas de ventre extra plat avec des abdos et pectoraux super bien dessinés. Son buste est totalement imberbe. On pouvait voir qu’il était en plein développement et qu’avec son sport il n’allait pas tarder à s’exploser et être taillé en « V ». Il avait une bonne petite gueule avec ses yeux verts, et son air embarrassé lui donnait un certain charme. Il me dit : — Mais Juan, toi aussi tu as des érections des fois ?— Tu veux dire quand je suis à ta place ?— Oui ?— Ça m’est arrivé. Maintenant de moins en moins, car j’ai plus l’habitude.— Et tu faisais comment ?— Souvent ça redescendait assez vite, mais là ça n’a pas l’air d’être le cas pour toi. Dis-je en rigolant. Tu es toujours aussi raide ! De manière plus sérieuse je le rassure en lui disant que c’est peut-être le stress de l’entraînement qui ressort maintenant et son self-control qui a lâché, mais c’est pas grave et mieux que ça arrive maintenant. Tu es un super athlète.— Oui, c’est peut-être ça, tu as raison…— Je crois qu’on va arrêter la séance là, car j’ai Valentin encore après toi— Mais je ne peux pas sortir avec une telle trique, Juan ! Les potes vont se moquer de moi.— OK, je vais faire mes emails à mon bureau et arrange-toi pour que la pression sorte. La salle ...
... faisait un L, la table de soin côté fenêtre dans la longue partie du L et mon bureau dans la petite partie. Je me dirige vers mon bureau. Je peux avoir une vue sur la table, mais pas directe. Mon boxer est de plus en plus gonflé et malgré le fait que ce soit un boxer et que mon pantalon de physio soit large ça devient difficile à masquer. Je suis donc content d’aller à mon bureau pour calmer tout ça. C’est là qu’il m’interpelle : — Mais… euh je ne sais pas quoi faire, je commence même à avoir mal, Juan.— Je pense qu’il n’y a qu’une seule option, Maxime, et je ne doute pas que tu la connaisses et pratique régulièrement !— Me branler ?— Je pense que oui.— Mais pas là !— Personne ne te voit, mais par contre n’en mets pas partout s’il te plaît, fais attention. Tu peux sortir, mais c’est toi qui ne voulais pas dans cet état.— OK. Maxime se retourne par pudeur certainement, mais j’entends le va-et-vient sur sa longue queue toute mouillée. Ce bruit si particulier du branle dont la mouille suffit à la lubrification. Je sais que cela ne prendra pas longtemps vu l’excitation et la vigueur de mon patient. Je lève les yeux et le vois de face dans le miroir. Lui ne peut pas me voir, mais je le vois. Le rythme devient frénétique, son corps se crispe, il arrête sa respiration, et là je vois un premier jet qui jaillit de son gland et arrive dans ses cheveux, suivi de nombreux autres tout aussi violents. Ils viennent lourdement s’étaler sur son torse d’athlète. Il gémit de satisfaction. Cela ...