La séance photo - Marc
Datte: 09/07/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
fsoumise,
photofilm,
Oral
pénétratio,
fdanus,
attache,
ecriv_f,
... cachais mes seins. Un sourire effleura ses lèvres douces, et d’un signe de la tête, me fit comprendre de retirer mes mains. Il pris son appareil, et commença à me photographier à son tour. Je rougis. Voilà les preuves flagrantes de ma faute… Et puis soudain, je pris vraiment conscience de mon désir pour lui, et pour lui monter ma soumission, je mis mes bras au-dessus de ma tête, l’invitant du regard à me rejoindre. À nouveau il sourit. Marc déposa l’appareil sur la table de nuit, puis il prit au niveau de mes hanches le haut de mon string et me le retira lentement. J’étais enfin nue… Lentement, il vint au-dessus de moi, m’embrassa à nouveau. Nos langues se mêlaient au gré de nos désirs… Il se remit debout, me regardant de son regard de feu, avec son désir pour moi, ce qui m’excita d’autant plus… Je sentais un liquide chaud s’écouler entre mes cuisses… Il fit le tour du lit, et je ne sais toujours pas comment, apparue dans ses mains une cordelette blanche. Mes mains furent liées au-dessus de ma tête et trop surprise, je ne pus dire un mot, me laissant faire sagement… Il attacha le bout au pied du lit. J’étais sa prisonnière à présent. Il refit le tour du lit, se plaçant en face de moi. Il m’écarta les cuisses. Je réprimai un cri, me sentant à présent trop timide, nue face à lui… Il s’allongea à nouveau sur moi, prit ma bouche d’une manière plus sauvage, mordilla ma lèvre inférieure… Je fermais les yeux, me délectant de tant de plaisirs… Jamais ô grand jamais, mon mari ne ...
... m’avait fait un tel effet… et pourtant je l’aimais plus que tout. Je me sentais indigne de lui faire ce que j’étais en train de faire… Je sentais son sexe gonflé sur mon ventre, il simulait un va-et-vient dessus, m’excitant d’avantage si possible… Je commençais à gémir, me laissant aller, cédant à ses assauts… Il me mordilla le menton, puis le lobe de l’oreille, sa langue traça ensuite un chemin jusqu’à mes seins, dont les pointes étaient tendues à l’extrême… Je gémissais de plus en plus. Je l’entendis étouffer un râle… Sa main gauche se mit à masser doucement mon sein droit, pendant que sa langue, chatouilleuse, titillait la pointe de l’autre, l’agaçait… J’étais à bout, je le voulais en moi, mais il me faisait languir… J’aimais sa langue, douce, chaude, humide… Ne voulant pas abandonner l’autre sein, il se dirigea vers ce dernier, le mordillant, le tirant doucement entre ses dents. Je criais de surprise. Nos corps, à cause de cette canicule, étaient mouillés de sueur… J’écartai un peu plus mes cuisses, l’invitant par cela à me prendre enfin mais il n’en fit rien… Il continua ses caresses sur mes seins… Je le suppliai alors de me prendre, parce que je n’en pouvais plus de l’attendre… Mais il me ferma la bouche de la sienne, imprimant son désir impérieux de me posséder quand il le voudrait lui… J’étouffais presque… Le poids de son corps se fit plus léger, il se souleva, se mit à genou au sol, me tirant par les jambes pour approcher mon sexe du bord… Il renifla l’odeur de mon sexe, ...