1. Trouble jeu dans le RER A


    Datte: 18/06/2017, Catégories: h, inconnu, bizarre, sales, train, hsoumis, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation

    Le récit qui va suivre est authentique et s’il remporte quelques succès auprès des lecteurs/lectrices de Revebebe, je vous livrerai alors d’autres anecdotes croustillantes du RER/Metro Parisien. C’était un samedi d’août 2013, en début d’après-midi, comme vous pouvez l’imaginer dans une période où il y a beaucoup moins de monde dans les transports parisiens et surtout dans le RER A. Ah ! Le RER A… Je vais faire un petit aparté pour ceux qui ne connaissent pas la ligne A du RER. C’est une des lignes ferroviaires les plus denses au monde (1, 14 millions de passagers/jours) qui traverse Paris d’est en ouest (ou vice-versa) avec tout ce que cela peut comporter d’aléas, de retards, de blocages divers et variés au quotidien mais aussi, j’ose le dire avec malice, d’aventures plus ou moins épiques. Car dans notre jungle urbaine parisienne, il suffit parfois d’avoir l’œil affûté pour chasser de bien jolies proies… Me voici donc sur le quai de Joinville-Le-Pont, à attendre pour aller à Paris une rame répondant au nom poétique de « ZEUS », car reconnaissons-le, nommer un train par un nom de la mythologie grecque (et quel nom !), ça a quand même sacrément plus de gueule que de simples numéros… Et puis en plus ça rajoute tellement de vérité au côté « je pars à l’aventure, je prends le RER A »… Il fait un vrai temps d’août, un ciel laiteux, lourd, presque orageux, c’est le début d’après-midi, quelques touristes en bermudas/sacs à dos attendent également sur le quai, bref, rien que de très ...
    ... banal. La rame arrive et le moins que l’on puisse dire c’est que pour une fois, les sièges sont assez clairsemés et j’avise une place à côté de deux personnes déjà assises au bord d’une fenêtre. Je suis donc assis dans le sens de la marche, à côté d’un homme d’une quarantaine d’années, style « européen de l’Est », bourru, rustique, plutôt enveloppé, avec jean/t-shirt, une barbe de 3 jours et cheveux plutôt rasés, une grosse canette de bière à la main, bref un côté plutôt SDF que gentleman… Et nous faisant face, une jeune femme très coquette et mignonne, un peu style « anglaise », blonde avec de jolis yeux, une petite trentaine d’années, en jupette courte, des sandales à talons et un air espiègle, mais surtout, un style diamétralement opposé avec l’homme à côté de moi et j’en déduis qu’elle s’est installée la première à une précédente station et que l’homme voyant une « jolie proie », il s’est alors mis en face d’elle. Quoi de plus banal me direz-vous ? Le RER s’ébranle et comme toujours dans les transports, je m’amuse à croiser le regard des gens, à imaginer dans quelles pensées, quelles colères, quelles envies, quelles rêveries ils peuvent être bien plongés, et tout naturellement mon regard se porte sur les yeux de ma charmante voisine d’en face qui semble avoir le regard baissé, ou plutôt qui semble regarder fixement quelque chose. Je suis discrètement l’axe de son regard et je me rends compte qu’elle fixe l’entrejambe de mon voisin (qui a pris quelques aises en écartant un ...
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