Un chien qui s'ignore 20
Datte: 04/02/2018,
Catégories:
Anal
BDSM / Fétichisme
Elle éclatait de rire et me remit le tuyau dans l’anus. Je devais être propre de partout me disais elle.Au bout de 5 lavements, elle tira sur ma laisse pour m’amener vers une sorte de banc de musculation en acier fixé au sol et munis de sangles en cuir. Je me retrouvais sanglé au cou, aux poignets, aux chevilles, à la taille sur celui-ci, le cul offert.Je me doutais bien de ce qui m’attendais mais pas à ce point…Elle m’expliqua qu’elle avait loué la salle à une amie de Madame Laurence pour la journée. Tous les articles de la salle étaient utilisables.Elle sortit une mallette d’un meuble et vint se placer devant moi pour la poser à terre et l’ouvrir. Le couvercle soulevé, je ne pouvais voir son contenu, mais je frémissais de peur rien qu’en voyant son regard sadique. Elle prenait tout son temps et me répétait que la salle était disponible toute cette longue journée.Elle se tenait accroupie face à moi de l’autre côté de la mallette. Elle avait passé une combinaison noire métallisée moulante qui ne cachait rien de son anatomie : ses cuisses larges, son cul énorme, son ventre proéminent et ses seins gigantesques qui semblaient vouloir s’écouler de la large ouverture laissée par la fermeture éclair. Elle n’avait pas les traits fins comme sa sœur et avait toujours été grosse. Ses doigts boudinés, son nez épais et son visage bouffis repoussaient plutôt le regard, mais ses seins me faisaient fantasmer depuis toujours. Et là encore, malgré la situation, je sentais que mon gland était ...
... sorti à nouveau de sa poche et se plaquait sous mon ventre.‘Tu vois Rex, depuis le début de ton mariage avec ma sœur, j’ai tout de suite vu que tu étais un gros con. Fier de ses 90 kg de muscle et de sa bite dressée pour le moindre jupon. Regardes toi maintenant, avec tes 60 kilos à mes pieds, nourris aux croquettes et dressé à l'abattage ! Je lui ai dit 500 fois de te larguer. Mais tu as profité de sa naïveté. T’as voulu fourrer ta queue à gauche à droite. Et puis ça t’a pas suffit. Il a fallut que tu me pelotes et que tu plaque ta queue contre mon cul, gros dégueulasse. Ma sœur était au rez-de-chaussée, mais il a fallut que tu te frottes à moi !’Elle avait adopté un ton plus calme depuis quelques et cela m’inquiétait. Ce n’était pas dans son caractère. J’étais ficelé à ce banc, seul avec elle dans ce donjon de la SM. Elle me regardait dans les yeux, déterminée. Je baissais la tête et ne me débattais pas, bien que ma peur me commande l’inverse.‘Depuis ce jour, je savais que tu étais un malade. Ce qui t’arrive, tu l’as cherché. Avec la petite Nolwenn, t’es tombé sur un os. Alors les filles se sont occupées de toi. Ma sœur s’est enfin réveillée. Mais elles sont trop bonnes avec toi. Je leur ai dit ma façon de penser. Moi c’est simple, je t’aurais coupé les couilles. C’est Laurence qui n’a pas voulu. Finalement elle avait raison. Sans couilles, pas d’envie et sans envie pas de frustration. Alors j’ai eu l’idée de te faire une bite de toutou. Ça leur a plu. Une toute petite bite ...