1. Rêve de domination


    Datte: 04/02/2018, Catégories: f, fdomine,

    A présent tu n’ignores plus combien, pendant des mois j’ai pu fantasmer sur toi. Ce soir, je vais te décrire un des nombreux scénarios que j’ai élaborés et sur lequel très souvent je me suis caressé. Nous ne sommes que tous les deux à travailler. C’est l’été, il n’y a personne à la résidence. Comme souvent, te voir vaquer à ton travail, te voir marcher, voir ton admirable corps en mouvement, excite ma libido. Je ferme les portes des locaux à clef et je te demande de venir à mon bureau. Tu t’exécutes et me rejoins. Je te fais part de mon envie, et avant que tu ne puisses réagir je te bande les yeux avec une écharpe. Tu es surprise, ton visage rosit et cette gêne que tu affiches ne fait qu’accroître mon désir pour toi. Cette gêne te rend plus belle encore, plus désirable. Aussitôt la bandeau en place, je te demande de poser tes mains sur mon bureau, buste ployé, les jambes légèrement ouvertes. Je passe derrière toi et à la manière d’une fouille sur un suspect, je promène mes mains sur ton corps. Je t’embrasse par derrière dans le cou, j’hume ton parfum, je savoure de mes lèvres la douceur de ta peau. Mes mains se font plus précises, plus curieuses et s’insinuent sous ton polo. Je caresse ton ventre qui se creuse, tes côtes, tes seins emprisonnés dans ton soutien-gorge. Je sens au travers du tissu tes mamelons se durcir. La douceur et le parfum de ta peau m’enivrent. Cette sensation de domination excite mes sens, et mon sexe à présent est à l’étroit tant mon désir est grand. Ne ...
    ... rien voir semble décupler ta sensibilité en même temps que tu éprouves un sentiment de malaise mêlé de curiosité et d’incrédulité. . Après avoir ainsi profité longuement de ton cou, de ton buste et de ton ventre je décide d’explorer la partie basse de ton corps. Je dégrafe le bouton de ton pantalon, fais glisser la fermeture. Te voilà à présent toujours penchée sur le bureau, les jambes nues, en slip. Je m’assois sur le fauteuil et me place de telle manière que tu sois de profil. Mes mains caressent tes jambes, l’intérieur des tes cuisses. Tu frémis, le grain de ta peau qui durcit trahit ta gêne sûrement, ton émoi peut être. J’enlève à présent complètement ton pantalon et je te demande d’écarter un peu plus les jambes. De part ma position assise mes yeux se trouvent à hauteur de ton bassin et je peux admirer la plasticité de ton corps, la fermeté de tes fesses, ton ventre plat. Tu es tellement belle, tellement désirable. Mes mains à présent caressent tes cuisses, tes globes fessiers par-dessus le tissu de ton slip, s’insinuent entre tes jambes sur ta vulve que je devine. Je sens au travers de l’étoffe ton sexe qui diffuse sa chaleur, son humidité et dont au toucher je dessine les replis. Je veux te voir mouiller et je t’interroge sur ton état. Je te caresse ainsi jusqu’à ce que je t’entende dire que tu éprouves du désir. Dans un souffle, d’une voix à peine audible, tu m’indiques que tu n’es pas insensible à mes caresses. Un combat entre ta volonté de dire non et ton corps qui ...
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