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Vengeance personnelle (1)
Datte: 05/02/2018, Catégories: Transexuels
... Sofiane vivait à mon crochet depuis déjà quelques mois. Il serait probablement difficile pour lui de trouver un emploi. C’est moi qui 0faisais vivre notre ménage il était temps que ça change. Il avait déjà allègrement profité de ma cuisine et de mon lit. Si vous aviez vu son visage, quand je lui ai annoncé l’ultimatum. « Trouve un emploi où je te mets à la porte ». Bien sûr, il essaya divers subterfuges, d’abord de m’attendrir puis de me menacer. Mais je tiens bon. Les rouages de mon plan étaient en place et je venais de les mettre en route. Je tenais ma déjà première victoire. Après une semaine de recherche sans succès, je mettais mes menaces à exécutions et sortais ses affaires devant le palier de l’appartement. Les voisins regardaient la scène avec médusé et surpris. « Il faut que tu trouves un emploi » lui dis-je. Mais je ne trouve rien, dit-il les larmes aux yeux. Les voisins observaient la scène avec circonspection et afin d’éviter tout commérages je lui fis signe d’entrer à l’intérieur en lui disant que j’avais peut-être une solution. En tant que responsable des ressources humaines, je connaissais une amie Amélia dont le bar était en pleine croissance et qui recherchait quelqu’un pour un poste de serveuse. C’était une occasion inespérée, mais lorsque je lui annonçais le poste il se renfrogna "C’est un travail de fille ça" déclara-t-il. La colère monta soudain, le rouge se peignit sur mes joues et je rétorquais violement. « Alors il faudra te trouver une autre petite ...
... amie et un autre toi qui supporte un enfant de 27 ans. » Certes, il dormait chez une autre femme mais de là à emménager avec elle il y avait un grand pas à franchir. La suite de mon discours je l’avais bien préparé, je lui expliquais que ce poste était exclusivement réservé à la gente féminine. Le piège était en place il ne restait plus qu’à savoir s’il allait fonctionner. Bien sûre, en tant que responsable RH, je savais qu’un poste exclusivement féminin était interdit pour discrimination mais lui il l’ignorait. Tout d’abord, il refusa catégoriquement et me supplia de la garder à la maison. Je me dirigeais vers notre ancienne chambre pour prendre le reste de ses affaires que j’avais mises dans des sacs plastiques et je me dirigeais vers la porte. « Assez » : cria-t-il, « comment pourrais-je faire ? C’est d’accord, appel Amélia je ferais tout ce qu’il faudra ». « Tout absolument tout » ? Déconfit-il acquiesça « Mais il y a peut-être une solution » lui dis-je songeuse « Laquelle ? » me demanda-t-il troublé par mon sourire Je minaudais « oui ça pourrait peut-être marcher » « Mais quoi dis-moi ! » blxbrrve Pourquoi ne te présenterais- tu pas à l’entretien sous les traits d’une femme ? Le choc se matérialisa sur son visage mais le son je sorti qu’après une fraction de seconde : « Jamais je ne suis pas une de ses tapettes qui se travesti, plutôt mourir. M’habiller en nana mais t’es complètement givrée ! ». D’un air résolu, je me levai « Alors adieu » lui-dis-je. Le dernier sac était ...