1. Une soirée torride


    Datte: 09/07/2017, Catégories: fh, ff, fff, grp, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral 69, double, fsodo, Partouze / Groupe sm,

    ... de ses reins et y imprime une forte pression. Et Léa sent son sexe qui explose, un premier jet de sperme au fond d’elle. La jouissance de Wilfried achève la montée de la sienne et à son tour elle explose. Ensemble ils jouissent, longuement, intensément… Ils restent ainsi, sans bouger, un moment, chacun reprenant son souffle. Et Wilfried lui fait doucement lâcher prise, la fait s’allonger complètement contre lui, entoure ses épaules de ses bras, son sexe toujours fiché en elle. Elle sent sa bouche contre son visage qui cherche la sienne. Elle la lui tend. Contact des lèvres. La langue de Wilfried s’insinue entre ses lèvres et ils s’embrassent. Puis il la repousse doucement, la fait se redresser, se redresse lui-même. Sans la lâcher, il la fait se mettre debout, se lève à son tour, la colle contre lui pour un nouveau baiser. Les applaudissements des autres ramènent Léa à la réalité. — Merci Léa. Vous êtes magnifique. Pour le reste de la soirée, je vous rends la liberté. Vous faites ce que bon vous semble. Et je vous rends la vue. Et joignant le geste à la parole, il lui enlève le bandeau. Et elle les voit, tous, qui la regardent. Nouveaux applaudissements. Mais surtout, enfin, elle le voit, lui ! Des épaules larges, une poitrine puissante, un ventre plat, des cuisses solides. Une gueule à la Georges Clooney avec ses cheveux poivre et sel. Son sexe encore humide de son intimité et encore gonflé a perdu cependant de son orgueil et pend entre ses cuisses. — Venez que je vous ...
    ... présente. On va faire le tour. Anne que vous connaissez… Elles s’embrassent tendrement. Les mains d’Anne courent sur son corps. — Zoé, la soumise, je devrais dire l’esclave de Monsieur Léon. Zoé, femme effacée qui garde la tête baissée, timide. La quarantaine, fine, de longues jambes. Elle accepte la bise sur les joues de Léa. Quand à Monsieur Léon, il est précisément comme Léa l’avait imaginé : pas très grand, bedonnant et gras, poilu même sur les épaules, une moustache à la gauloise. Pas très jeune non plus, pas loin de 70 ans ! Il semble penaud et en claquant une bise sur la joue de Léa, il lui souffle un : — Excusez-moi de ma muflerie, Léa. Elle ne lui répond pas. — Madame Mathilde. Une femme bien charpentée, assez forte, la cinquantaine. Les seins retombant. Mais un sourire jovial. Elle respire la bonté et la gentillesse. — Vous êtes magnifique. J’espère qu’on fera davantage connaissance si vous voyez ce que je veux dire, lui souffle-t-elle en l’embrassant, non sans lui mettre une main sur un sein et l’autre sur une fesse. — Luc et Marc. Elle les regarde à peine et pour éviter toute ambiguïté qui pourrait faire croire qu’elle leur pardonne, elle leur tend la main. Luc, la montagne de muscles, son sexe fin comme celui d’un petit garçon mais long comme un jour sans pain pendouille entre ses jambes ; Marc physique plutôt agréable avec son sexe d’une grosseur impressionnante mais au repos. Tous les deux, regardant ailleurs que dans les yeux de Léa bredouillent aussi des excuses. ...
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