1. 100 % blanche - 3


    Datte: 06/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Le lendemain matin, pendant qu’on prend le petit déjeuner dans le jardin, mon mari me félicite encore d’avoir mené à bien ma mission avec le Yankee. Il est juste un peu surpris qu’après avoir été pratiquement violée, je fasse un grand sourire en direction de la camera. Il a dû prendre les gémissements de plaisir pour de la douleur, cet âne. Je retombe sur mes pattes, en lui disant : — J’ai fait ce sourire tellement j’étais contente d’avoir remporté cette petite victoire pour mon pays. Là, Luisa fait un faux mouvement et renverse un verre de jus d’orange sur la table ET sur moi. Enfin ! Il était temps ! J’attendais avec impatience une bêtise d’une des filles. Affolée, elle me tamponne avec une serviette en balbutiant des excuses. Juan me dit : — A ta place ma chérie, je lui ferais donner 5 coups de fouet par Ramón… ou 10. Luisa se mets à genoux embrasse ma main en disant : Parron, pardon Madame, pas 10 — Soit, tu en auras 5. — Merci, Madame ! Elle me remercie de lui faire donner 5 coups de fouet : j’adore !! Je termine de déjeuner en parlant de l’avenir du pays avec Juan, jouissant de l’air désolé de Luisa. À voir sa tête, ça doit faire mal… Je ne suis plus pressée : ça va se passer ! Mon mari doit aller au bureau et moi… j’ai quelque chose à faire, mais quoi ? Ah oui, le fouet à Lisa ! Je lui dis : — Il faut encore te faire fouetter, toi ! Comme si je n’avais pas assez à faire ! — Oui, pardon, Madame. Ramón loge dans des nouveaux bâtiments derrière la maison. Sa chambre est ...
    ... une petite pièce qui donne sur le côté du garage. La porte est entr’ouverte, je la pousse et j’entre. Oh ! Il est occupé de se raser, nu devant un petit lavabo. Il se retourne et dit : — Hola Señora. J’ai un chat dans la gorge, quand je réponds : — rrrr… Hola, Ramón... J’ai besoin de vous, pour corriger Luisa. — Deux minutes et j’arrive, Madame.. On attend dehors Luisa et moi. Elle, tête baissée et moi… rêveuse. Il sort vêtu d’un pantalon. Il est costaud ! Pauvre Luisa… non je rigole. Je lui dis : — Cette fille a renversé du jus d’orange sur la nappe et sur mes vêtements, je voudrais que vous lui donniez 5 coups de fouet. — Vous êtes vraiment indulgente, Madame ! Il la regarde et lui dit : — Tu as remercié Madame ? Elle me regarde les yeux plein de larme et dit : — Merci Madame et pardon, je ferai très attention. Elle me remercie, encore ! Bon… je dis à Ramón : — Je voudrais voir le fouet que vous employez et la façon dont ça se passe. — Bien sûr. — Luisa tu sais ce que tu dois faire, ce n’est pas la première fois, hein ? — Hélas, non, Monsieur Ramón. On va dans le garage. Elle tire un gros fauteuil avec des accoudoirs jusqu'au milieu de la pièce. Ensuite, elle va chercher le fouet et se met à genoux devant moi en me le tendant. Le fouet se compose, d’un manche court et de 3 lanières plates. Elles sont, comment dire ? Patinées, voilà. Patinées d’avoir frappé des dizaines de fesses. C’est le fouet qu’on emploie au Santa Roja pour punir les esclaves. Il fait mal, mais n’entame ...
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