Chauds, chauds, chauds les tropiques
Datte: 06/02/2018,
Catégories:
fh,
couleurs,
couple,
extracon,
Oral
pénétratio,
confession,
occasion,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... l’après-midi jusque tard le lendemain matin. Tu n’as pas eu à te plaindre. En ce qui concerne Cyril, je pense que si ses capacités ont été telles, elles ont été à la hauteur du désir que tu lui inspirais. Et toi ?— Je ne sais plus… Deux fois à coup sûr, et de deux façons différentes. Lorsque l’orgasme féminin survient, il est si intense qu’il ne peut être confondu avec rien d’autre. Mais dans nos souvenirs, une succession de plaisirs et de jouissances forme un tout indissociable dans lequel toutes les sensations se mêlent et se confondent. Vous autres les hommes, vous ne pouvez pas comprendre. Quand on atteint le sublime, la notion de prouesse ou de record n’a plus aucun sens. Je crois que c’est pour cette raison que nous deux, après avoir fait l’amour le soir, on s’arrête là et on s’endort ; mon corps est totalement repu.— On s’endort tout simplement parce que nous n’avons aucune urgence : nous avons toute la vie. Et aussi, dormir tendrement dans les bras l’un de l’autre, c’est une autre façon, très douce, de faire l’amour. Et enfin c’est parce que tu ressens que je t’aime et te désire avec une telle passion que tes orgasmes sont effectivement totalement dévastateurs. Après avoir joui, tu ressembles à un zombi et tu restes pendant un certain temps sans réaction positive.— Après avoir vécu cette histoire, je réalise que tu es un bien meilleur amant que Cyril. La différence essentielle est que toi tu accompagnes de tendresse tous les plaisirs du corps, et que tu me fais ...
... l’amour en pensant à mon plaisir. À l’inverse de toi, parfois Cyril ne s’est pas montré assez patient. Il ne faut pas laisser sa partenaire au milieu du gué. Malgré ces réserves, j’ai pris beaucoup de plaisir en baisant avec lui. Surtout parce que c’était nouveau. Pour terminer, je peux te dire que j’ai bénéficié en brousse, à quelques jours d’intervalle, de deux sensations qui subliment l’érotisme : la surprise et l’attente. La surprise quand Cyril s’est trouvé devant moi, volontairement j’en suis sûre maintenant, me montrant son désir en exhibant une queue magnifique, cambrée et plus nue que nue. L’attente, les jours suivants, hantée par le désir de sentir à nouveau sa chair brûlante envahir mon ventre. Toi, tu m’offres tout ce qu’une femme souhaite : la tendresse, l’amour, le plaisir, la jouissance de mon corps. Mon seul désir est de te garder, de t’aimer, de te rendre tout ce que tu me donnes. L’intensité du plaisir ne se mesure pas. Celui que j’ai ressenti avec Cyril a-t-il été par moment plus fort qu’avec toi ? Je ne sais pas. Ce dont le suis sûre, c’est qu’il a été amputé de tout sentiment. Cela a été tout autre chose, comme une exploration des profondeurs de ma sensualité, une exultation de mes sens par la nouveauté de l’inconnu. Ayant vu accidentellement et par hasard le corps magnifique et la virilité pleine de promesses de Cyril, il est, sinon normal, du moins concevable, que je n’aie pas su ni pu ni même voulu résister au plaisir de me donner à lui. Et surtout, cette ...