1. Chapitre I : Disparitions


    Datte: 06/02/2018, Catégories: ffh, bizarre, sales, contrainte, Masturbation entreseins, Oral 69, fdanus, aventure, merveilleu, merveille,

    Le soleil s’était invité dans la grande chambre blanche composée de colonnes de marbre qui encadraient un grand lit à baldaquin fait du tulle le plus cher des royaumes. Accroché au-dessus du lit, un miroir ovale au cadre en argent réfléchissait la lumière qui filtrait par les persiennes. De nombreuses alcôves contenant des bibelots perçaient les quatre murs de la pièce. Des peintures exécutées par des artistes renommés s’alignaient entre elles. D’épais tapis luxueux, tressés par des mains habiles d’ouvrières Calimshites, recouvraient le sol. La fille aînée de la principale famille de la ville dormait au centre du lit, le haut de ses fesses débordant du drap. Un tatouage de dragon d’or s’étendait de la chute des reins au sommet du dos, partiellement caché par la longue chevelure brune. Elle était plongée dans un sommeil sans rêve et n’allait pas tarder à en être extirpée par le cri de sa petite sœur. Il devait être vers les six heures lorsqu’Elya, la plus jeune fille de la famille Smerok, se réveilla. Comme à son habitude, elle sortit de sa chambre et alla se soulager aux latrines de l’étage. Le manoir familial comportait quatre étages. Les deux derniers étaient réservés aux quartiers particuliers des membres de la famille. Elle s’apprêtait à regagner son lit afin de prolonger son repos quand elle sentit une présence derrière elle. Elle sursauta, poussa un petit cri de surprise, puis voulut hurler quand une main crasseuse la fit taire. Le son étouffé retourna au fond de sa ...
    ... gorge en produisant un mince gargouillis. Kera, la sœur aînée, bondit de son lit et se précipita dans le couloir, nue. Son corps était splendide, chaque partie avait des proportions idéales et sa peau cuivrée ne faisait que la rendre encore plus désirable. Son visage frôlait la perfection. Il possédait tous les attraits que les hommes s’attendent à trouver chez une femme. Mais ce qui attirait le plus le regard restait cette magnifique paire d’yeux verts, qui avaient quelque chose de félin. Elle avait une poitrine généreuse, des seins hauts dont les tétons étaient percés par deux anneaux d’or. Son ventre plat possédait un tatouage de serpent noir qui s’enroulait autour de son nombril et se mordait la queue. Son pubis, lisse, avait été fraîchement épilé avec de la cire du Calimsham comme c’était la tradition dans les familles nobles du sud. De longues jambes fuselées s’étiraient jusqu’à deux petits pieds d’un érotisme étourdissant. Juste après avoir franchi le seuil de la porte, elle entendit un bruit de pas provenant du fond du couloir. Elle décrocha une torche, l’alluma et se rua dans cette direction. Elle était à mi-chemin quand, du coin de l’œil, elle vit une ombre sur le mur. Elle n’eut pas le temps de réagir qu’un gaillard l’avait déjà ceinturée d’un seul bras avant de la frapper sur le nez de son autre main libre. Elle tomba immédiatement inconsciente, tant le coup était violent et précis. ooOOoo Lorsqu’elle reprit connaissance, elle était bâillonnée et ligotée à l’arrière ...
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