La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 691)
Datte: 09/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°688) - Epreuve d'endurance - Endymion MDE ne se préoccupait plus de ceux discutant, il était tout entier accaparer par ce qu’il faisait. Sa langue avide glissait sur ces Nobles chaussures. Combien il était heureux d’être récompensé d’une telle manière. Il aimait se retrouver aux pieds du Maître, se sentir si bas près de Celui qu’il vénérait tant. Il humidifiait cette chaussure de sa salive avec dévotion et admiration. A qu’il était bon pour lui de se voir prosterner ainsi, fier d’être réduit à moins que rien, devant un public ne faisant même pas cas de lui… A peine sentit-il, qu’on lui dégrafait le zip de cette combinaison, cette main douce glissant entre le tissu de ce vêtement et son fessier rebondi ! Il était plongé dans des ressentis tellement extraordinaires… Son cul pourtant avait été mis à nu, une main délicate avait attrapé ses génitaux pour les extirper et les exposer contre cette toile bleue et rêche. Un doigt glissait sur sa raie imberbe, s’arrêtait parfois contre son anneau, ou dessinait quelques cercles tout autour de son anus… - Tu es beaucoup plus joli ainsi petit chien, avec ton membre tendu et exposé ! Evidemment Endymion MDE avait reconnu la voix de celui qui lui causait. David était arrivé sur ces entrefaites, accompagné de Monsieur Julien et de Mademoiselle Lucie. Ces deux derniers discutaient avec Jacques le charpentier, ami d’enfance du Maître. L’esclave MDE ne les avait pas entendu arrivés tant il ...
... était absorbé par cette Vénération et Dévotion, lui procurant un tel bien être. David s’amusait avec ses couilles, les caressait délicatement, ses doigts effleuraient son périnée glabre. Ses mains écartaient les lobes fessiers dégageant largement son petit trou de lope. Un liquide blanchâtre s’en échappait, tant il avait été dosé par le foutre de Monsieur Jacques. David de son index récoltait ce surplus de sperme et le réintroduisait lentement dans cette cavité sombre et dilatée. - Garde ses protéines en toi petit chien, nourris-toi d’elles, absorbe-les, avale-les par ton petit trou ! Ce David était d’une délicatesse et douce perversion. Perversion toujours raffinée, réfléchie et parfaitement maîtrisée par le choix de ses mots souvent poétiques mais aussi par le choix de chacun de ses gestes efféminées tout en douceur, car visiblement il aimait les esclaves comme un être humain aime les animaux, il les cajolait, caressait et jouait avec cela et toujours avec une judicieuse intelligence et approche délicatement perverse. Il avait un style bien différent de celui habituellement utilisé en ces lieux, mais ses affables et aimables attentions produisaient un effet incroyable sur celui toujours prosterné et dévoué. Quand soudainement, une main plus ferme se resserrait sur ses couilles, en aucune manière se ne pouvait être celle de David. Des ongles pénétraient ses chairs délicates. On tirait sur ses burnes avec une poigne rigoureuse, l’obligeant à se relever sur ses jambes. Une main ...