1. Une adolescence perturbée (2)


    Datte: 08/02/2018, Catégories: Lesbienne

    Chapitre 2 J’avais passé une nuit compliquée ; voir mes parents faire l’amour de cette façon m’avait retourné le cerveau. J’avais tout de même dormi un peu, mais je fus réveillé par une étrange sensation. Une sensation d’oubli. En effet, j’avais oublié de ramasser ma semence que j’avais fait gicler sur le sol. Mon réveil indiquait 9 h 30. Je bondis de mon lit et courus dans l’escalier ; ma sœur me regarda d’un air imbécile courir pour rejoindre le seuil de la chambre de mes parents, là ou j’avais connu une de mes plus grandes jouissances. Je regardai au sol et palpai le carrelage, mais rien : pas une seule trace, comme si j’avais tout rêvé. Puis une voix interrompit mes recherches : — Tu cherches quelque chose ? — Non, pas du tout ; enfin si, mais cela te regarde pas ! — Ah ? OK ! Tu es un peu tendu ce matin. Elle repartit dans la cuisine finir son café. Après encore quelques instants, j’allai rejoindre ma sœur dans la cuisine. Je préparais mon petit déjeuner tout en regardant ma sœur se réveiller petit à petit. Elle était encore en tee-shirt et culotte. C’était le tee-shirt qu’elle préférait, mais cela faisait déjà quelques années qu’elle le portait et il commençait à devenir trop petit, surtout depuis que sa poitrine avait pris la taille de celle d’une femme. — Que vas-tu faire aujourd’hui ? me dit-elle. — Je dois passer chez mon pote Marc ; on va jouer un peu à la console, et cet après-midi on devrait se faire un foot entre potes. Et toi ? — Je ne sais pas encore ; un ...
    ... peu de bronzette, et Isaline doit passer en fin de matinée. Aaah, Isaline, la femme de tous mes fantasmes ! Elle avait sûrement la plus grosse poitrine que j’aie jamais vue. Je n’en avais jamais vraiment su la taille exacte, mais il paraît qu’elle avait subi une opération en fin de 3ème pour arrêter la croissance de ses seins. Pour ne rien gâcher, elle avait un corps menu et une petite taille, ce qui accentuait encore la taille de ses seins. Alors que je bavais en fantasmant sur elle, ma sœur claqua des doigts sous mon nez. — Rêve pas, puceau, tu ne te la feras jamais ! Ma sœur savait que j’en pinçais pour elle, et elle adorait me chambrer avec cela. Je fis la grimace, finis mon petit déjeuner et partis me changer en passant par la piscine pour me réveiller après une toute petite nuit. Je m’étais réveillé tard et je ne pouvais pas pratiquer mon rituel quotidien (branlette) car ma sœur était dans sa chambre et j’étais en retard. J’enfilai un short et un tee-shirt et quittai la maison en direction de chez mon pote. Sur la route, alors que la journée était très belle, je repensais à mes parents dans leur chambre, mon père le cul en l’air et ma mère en train de l’enculer. J’avais beau être un habitué du porno, je n’avais jamais vu cela. Et surtout, mon éjaculation, où était-elle passée ? Mes parents se doutaient-ils que je m’étais masturbé en les matant ? Je n’ai pas eu le temps de répondre à mes propres questions que j’arrivais déjà devant la porte de chez Marc. Je frappai et sa ...
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