1. dressage 1


    Datte: 22/05/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires

    ... muselière. »
    Je me mets debout devant lui.
    « -Allez, viens m’enlever ma culotte. Avec tes dents, sans les mains. »
    
    Et de plus en plus ridicule, ton mari glissera sa tête sous ma jupe et attrapera ma culotte maladroitement avec ses dents et tout doucettement en s’y reprenant à plusieurs reprises, il fait glisser le doux tissu le long de mes jambes, sous mes insultes répétées.
     
    « -Attrape le fonds, maintenant, idiot. »
    Je soulevais chacun de mes pieds pour lui permettre enfin de sortir l’étoffe blanche. Il la tenait maintenant ridiculement au bout de ses dents. Je lui repris et la plaçais doucement sur sa tête en lui coinçant le passage des jambes derrière les oreilles et en lui plaçant exactement le fonds, l’endroit le plus sale, le plus humide sur le nez et la bouche.
    
    « -Ah,, Ah, Ah. Je ne pouvais pas retenir la crise de rire qu’il m’inspirait dans cette tenue stupide. »
    Je remontais sur son dos en prenant soin de bien mettre en contact ma vulve nue et désormais détrempée sur son dos nu et je lui fis de nouveau faire le tour de la pièce. Je me penchais en avant et lui enfonçait profondément la culotte sale au fonds de la bouche :
    « -Vas-y mon toutou, lèche bien. C’est bon, hein ? Réponds ! »
    « -Uhm, Uhm, marmonna-t-il. » me provocant une nouvelle crise de rire.
    « -Tout cela a du te donner soif ? Tu as soif ? Tu veux boire ? »
    « ...
    ... -Oui, Maîtresse. »
    « -Et bien, on va te donner à boire. Mais avant, tu vas m’aider à faire mon pipi. J’ai trop envie. »
    A-t-il senti le piège ? Même pas sûr. 
    Je m’installais à cheval sur deux chaises et lui demandais de tenir juste sous moi la bassine que j’allais essayer de remplir au maximum.
    « -Regarde bien mon petit jet mon chéri. Tu vois comme c’est beau quand ta Maîtresse fait son pipi pour toi, rien que pour toi. »
    Je fis durer le plaisir par de petits jets de pisse qu’il regardait avidement. Lorsque j’eus fini, je lui fis poser la bassine par terre et me relevais.
    « -Allez, à quatre pattes, sale chien. Tu as toujours soif ? Alors lape. Vas-y lape. »
    Sous mes menaces, il dut s’exécuter et doucement lapa dans le fonds de la bassine le chaud liquide jaunâtre.
    « - Encore, hurlai-je. Tu ne dois rien laisser. »
    Puis, quand il eut tout avalé, je me remis à quatre pattes sur les deux chaises en tendant mon cul au maximum.
    « -Viens me lécher maudit clébard, tous les chiens adorent le cul de leur femelle. »
    Il dut venir derrière moi et me lécher la vulve que je lui ouvrais largement. Puis ce fut le tour de l’anus qu’il dut nettoyer de fonds en comble alors qu’il était d’une saleté redoutable.
    Enfin, il fut autorisé à me pénétrer, mais surtout pour mon plaisir à moi. Durant tout le temps du coït, il garda dans sa bouche le beau tissu blanc… 
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