La visite
Datte: 09/07/2017,
Catégories:
fh,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... décidément elle ne voulait pas, si elle refusait cet acte, il ne lui tiendrait pas rigueur. Ceci dit, il entreprit tout de même de continuer à lui lécher l’anus. Il tenta même de glisser son pouce mais, Marlène donnant un brusque coup de reins, son doigt ne parvint pas à destination. Jason choisit donc un autre angle d’attaque. Il demanda à Marlène s’il elle voulait bien satisfaire un de ses caprices. Sans méfiance, elle accepta sa requête. Jason dirigea alors les doigts de Marlène vers son sexe puis par des paroles apaisantes lui raconta ce qu’il attendait d’elle. Tu es seule lui dit-il. Nous sommes par une chaude journée d’été. Le soleil court sur ta peau car tu es nue auprès d’un plan d’eau dans lequel tu viens de te baigner. Des pensées lascives te viennent que tu ne peux satisfaire comme tu le voudrais étant donnée ta solitude ce jour là. Tes mains se dirigent alors vers ton sexe et délicatement, sans véritablement oser tu commences à te masturber une main sur ton clitoris, l’autre dont deux doigts s’introduisent en toi. Marlène, prise par la voix de Jason, comme hypnotisée, commença donc réellement à se masturber. Jason se glissa alors derrière elle et, attendant que l’excitation l’envahisse à nouveau, avança son gland vers son petit trou. Marlène avait maintenant compris la tactique de Jason. Elle n’opposa plus de résistance. Elle frémit et poussa juste un petit cri quand Jason, poussant avec ses reins, fit franchir à sa queue le diaphragme de son anus. Et millimètres ...
... par millimètres, revenant fréquemment en arrière, il commença à lui limer le cul. Jason savait que le plaisir de Marlène n’était pas là et que seule la masturbation qu’elle avait entrepris l’empêchait de refuser cette pénétration. Pour renforcer cette acceptation, il lui dit quelques mots voulant tester quelle sorte de registre pouvait l’amener à prendre aussi un plaisir mental. Il essaya tout d’abord l’amour en lui disant que cette pénétration était pour lui un cadeau qu’il attendait d’elle. Puis, voyant cet argument sans apparemment grand effet, il essaya la domination. Là, il sentit qu’il avait trouver là la bonne porte. Il orienta son discours vers le salace, le salace transgressionnel. Il dit à Marlène que dès qu’il l’avait vu pour le première fois, il avait eu envie de la sodomiser sans pitié car il savait qu’elle était une salope qui s’ignorait. Les mots de Jason électrisèrent Marlène plus qu’il n’aurait cru possible. Continuant de se masturber plus frénétiquement, elle osa à son tour prononcer des mots qui, du plus profond de son inconscient, attendait depuis longtemps de jaillir. Perdant, cette fois-ci aussi toutes retenues et toutes pudeurs, les perdant d’autant plus qu’elles avaient été auparavant si tenaces, elle supplia Jason de l’enculer maintenant sans la ménager. Elle lui hurla qu’elle avait toujours eu envie de se faire prendre ainsi mais qu’aucun de ces "connards d’hommes", n’avaient osé le faire alors qu’elle rêvait secrètement de cela. Ce qu’elle voulait ...