Trio sublime
Datte: 09/07/2017,
Catégories:
fhh,
hagé,
fagée,
extraoffre,
poilu(e)s,
danser,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
hsodo,
Partouze / Groupe
ecriv_t,
... d’admirer les secrets de sa tendre et chère ! Ses couilles chaudes venaient taper sur les miennes, et je sentais que ses coups de lime redoublés me conduisaient à l’orgasme, le premier que m’ait jamais donné un homme ! Ah ! Le frottement de la peau de sa bite contre la peau de mon cul ! Je vibrais ; de tout mon sphincter, je lui serrais sa queue ! J’en dégustais le moindre centimètre ! Je le retenais par le bourrelet de son gland ! Ah ! Ce pied que je prenais ! Et soudain, il se mit à beugler ! — Ah ce cul ! Putain, ces fesses ! Paradis et enfer ! Ah ! Aha ! Je viens ! Je t’encule ! Je vais t’inonder le cul ! Je crois que nous avons crié tous les trois ensemble ! J’ai senti, après une intense vibration, sa raideur se figer dans mon anus ! Au même moment, ma bite entrée en catharsis, ma sève a rempli le ventre de Sido, en longs jets puissants ! Et elle, elle avait posé ses mains sur mes mains, en coupole sur ses seins, au moment d’une longue contraction de son vagin qui avait serré fortement mon chibre ! Nous restâmes tous trois emmanchés quelques minutes, reprenant notre souffle, avant la débandade, jusqu’à ce que, épuisés, nous nous dégagions pour nous affaler, Sido installée entre ses mâles, repue. Et nous nous sommes endormis. Ce n’est que plus tard, dans la soirée, que ...
... nous émergeâmes, et que nous décidâmes de prendre ensemble une douche réparatrice et qui nous laverait de toutes nos humeurs odoriférantes. Chacun aida l’autre à se frotter, à se savonner, et nous prîmes tous un sacré plaisir à nous astiquer mutuellement seins, con, bites, anus jusqu’à satiété, avant de nous installer, encore nus, mais délassés, devant une collation bien appréciée. La soirée étant avancée, Sido et Rupert me proposèrent de passer la nuit chez eux, et, qui savait si, au cours de la nuit… Le sommeil était profond. Au bout d’un grand moment, j’émergeai difficilement et goûtai ce temps silencieux et serein où l’esprit se reconstruit doucement, cet instant où les bruits se réinstallent progressivement, où la lumière s’instaure à nouveau, où les pensées se précisent alors que le corps reprend sa réalité. J’ouvris un œil. Je tournai la tête. Vers le réveil qui annonçait les six heures. La pièce reprenait son volume, et se recollait au souvenir que j’avais de ma chambre. Ma chambre ? Je tendis le bras pour chercher les corps de mes amis. Je ne trouvais que le vide ! Alors, d’un coup, je me dressai sur ma couche. J’étais seul ! Chez moi ! Rien d’autre. Je me frappai le front du plat de la main. Me recueillis un instant. Putain ! Tout cela n’avait donc été qu’un rêve !