1. Jeudi libre


    Datte: 09/02/2018, Catégories: fh, fplusag, vengeance, chantage, Oral pénétratio, fsodo, yeuxbandés, confession,

    ... serpent hypnotise sa proie. En quelques secondes, la messe est dite. Pardon mon Dieu pour ce blasphème. Mais j’ai le cul plein de cette bite que je ne pensais pas si longue. Encore un effet du bandeau. Je crois bien que c’est moi qui donne le top du départ en tortillant du cul comme ces femmes que Pascal honore dans le parking. La queue commence sa longue mélodie dans mes entrailles. Je ne peux me retenir de frotter mon clito pendant qu’il me caresse les seins. Son ventre claque sur mes fesses. Quelqu’un dit : — Bourre-moi fort. Demain j’aurai mal au cul lorsque je retrouverai mon mari. C’est moi. Je jouis longtemps. Plusieurs fois. Je comprends que c’est possible d’avoir un orgasme par ce chemin. J’attends maintenant le déferlement de la semence dans mes entrailles mais mon enculeur décide de se retirer et de cracher sur mes reins. Dommage, j’aurais bien aimé… Pascal refuse que je retire mon bandeau. Il a raison. Tout est beaucoup plus fort avec l’imagination. Il est infatigable. Sa verge est à nouveau en forme. Mais j’ai le con et le cul en feu. Une maîtresse sait comment satisfaire un amant. Je suce, lèche, pompe la bite jusqu’à ce qu’il crache dans ma gorge. Encore une vengeance contre Thomas. Dommage que je ne puisse lui dire ce que j’ai fait, juste pour me venger… Le week-end n’aura été qu’une très agréable coupure. Dès le lundi soir, Thomas, reprend sa litanie. — Sonia, nous devons divorcer. Nous ne pouvons pas continuer comme cela. Je t’assure ce sera mieux pour toi ...
    ... aussi. Je te promets d’être très généreux avec la pension alimentaire. Même, je te la donnerais encore si tu trouvais un autre homme. Tu es jeune. Tu es belle et intelligente. Tu vas retrouver quelqu’un. Moi je te bloque.— Non.— Écoute, je me suis renseigné, l’église peut accepter le divorce s’il n’est pas par consentement mutuel. Ce serait plus long mais ainsi ta foi serait préservée.— Non et non.— C’est ton dernier mot ?— Oui.— Alors tu ne me laisses pas le choix. Il se lève et va jusqu’à la télé ou il insère une clé USB. L’horreur apparaît sur l’écran. Je vais m’évanouir. Je découvre la chambre de Pascal, notre arrivée, les préliminaires et la relation que nous avons eue. Plus que de me voir en femme offerte, c’est la trahison de cet homme qui m’a prise dans ses filets et m’a entraînée dans la boue. Tout était prémédité. C’est évident. Le Judas ! Quelle est sa récompense. Une promotion ou juste la joie d’avoir baisé la femme du patron. Peut-être même que je suis la risée de toute l’entreprise. Peut-être qu’ils ont fait des paris sur ma résistance. — Je sais c’est moche, mais je n’ai pas trouvé d’autre solution. Accepte de divorcer. Regarde-toi, tu t’es vraiment libérée. Une fois la liberté retrouvée tu pourrais…— Jamais. Jamais je ne divorcerai. Et si tu montres cela, je dirai que c’est parce que tu me trompes. D’ailleurs c’est la vérité. Thomas pousse un soupir. Je le sens perturbé par mon refus. Tant pis, je me lève et vais quitter la pièce. — Attends. Je craignais que tu ...
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