1. Microfictions : 5- Le gâteau


    Datte: 09/02/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    En ce dimanche matin, pendant que son mari était à la chasse, Nathalie, vêtue sommairement d'un tee shirt qui lui arrivait en haut des cuisses, pétrissait une pâte pour en faire le gâteau de midi. Le fiston était parti jouer au football et elle était donc seule dans sa cuisine. Cette petite femme d'une quarantaine d'années, au lourd casque de cheveux prématurément grisonnants et à l'agréable visage ovale, était remarquable par le volume de ses seins, véritables obus qui tranchaient avec le reste de son corps, plutôt menu. Après avoir été longtemps complexée par sa poitrine, elle en avait pris son parti et même fait un atout de séduction. Les clients de la librairie où elle tenait la caisse pouvaient plonger dans un décolleté faramineux... et ainsi passer souvent à la caisse, ce dont ne se plaignait pas le patron. Mariée à Fabrice depuis quinze ans, elle passait pour une bonne mère de famille, sans histoire. Son couple fonctionnait parfaitement et c'est le coeur léger qu'elle pétrissait la pâte pour ses deux hommes. C'est donc en plein pétrissage que Fabrice, de retour de la chasse, la découvrit dans la cuisine, son fusil à l'épaule. Le mouvement des mains de Nathalie faisait remonter son tee shirt jusqu'au milieu des fesses. Fabrice s'éclipsa discrètement pour se débarrasser de ses affaires et revint à pas de loup dans la cuisine pour enlacer sa femme et lui faire une bise dans le cou : - Hou ! Tu m'as fait peur, dit-elle en l'embrassant. Alors, cette chasse ? - Bredouille. ...
    ... Même pas un coup de fusil. Mais continue ton travail, j'aime voir les mains de ma femme dans la farine, comme dit Nougaro. Alors que Nathalie avait recommencé à pétrir sa pâte, Fabrice glissa ses mains sous ses bras et empauma ses seins, comme il aimait souvent à le faire, les flattant, les titillant, les soupesant, avec une paluche de propriétaire. Il se sentait durcir à mesure et colla sa braguette contre le bas du dos de son épouse, laquelle réagit : - Arrête ! Laisse-moi faire mon gâteau. Mais l'homme fit comme s'il n'avait rien entendu et glissa ses mains sous le tee shirt, saisissant des doigts les pointes déjà dures des seins de Nathalie. Celle-ci tenta de se dégager : - S'il te plait, pas maintenant, je ne suis même pas lavée, tout à l'heure si tu veux, quand j'aurais mis le gâteau au four. Comme si elle n'avait rien dit, Fabrice laissa glisser sa main vers l'entre-cuisses de Nathalie et son doigt toucha sa fente, dont il perçut clairement l'humidité naissante. - Non, je vais te baiser là, tout de suite, maintenant, parce que tu en as envie. Et de baisser son pantalon pour exposer un membre en totale érection, décalotté et prêt à l'emploi. Le sentant contre ses fesses, Nathalie interrompit son oeuvre et poussa un soupir, non sans onduler légèrement de la croupe : - Tu es insupportable. Bon, je te fais une petite gâterie et tu me laisses continuer, hein ? Saisissant le membre de ses petits doigts, elle se pencha et le porta à sa bouche. Sa langue experte tourna autour ...
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