Eucalyptus
Datte: 09/02/2018,
Catégories:
fhhh,
extracon,
nympho,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
double,
fsodo,
... le jour où tu ne seras plus une traînée, je te quitte. Compris ?— Houla, il va donc falloir que je nique encore plus si je veux te garder !!— Bonne initiative ! Il se tourne vers Wouter : — Nous acceptons votre offre, nous reviendrons demain. Préparez vos propositions, et allez-y de bon cœur : ma femme adore les défis ! D’un même élan, ils s’embrassent farouchement, passionnément. J’ai franchement la sensation d’être une toute petite fourmi perdue dans une mégalopole… Nous sommes redescendus dans la grande salle. Le reste de la soirée se déroule très bien, mis à part que, souvent, des clients viennent féliciter Véro pour ses deux belles prestations. Par précaution, elle a gardé son costume et son masque, ce qui fait qu’on ne peut pas se méprendre. Ceci amuse beaucoup son mari. Curieusement, j’apprécie moins ; serais-je devenu possessif ? Me voyant à côté d’elle, tout en la pelotant, mes deux voyeurs ont eu confirmation que je ne leur avais pas raconté de carabistouilles. Eux aussi ont félicité mon amante. Je voyais qu’ils brûlaient de poser diverses questions, mais qu’ils n’ont pas osé. Tant pis pour eux. D’autres hommes, et quelques femmes viennent nous faire un petit coucou. Certains sollicitent la permission de toucher les beaux gros seins laiteux, aussi bien les hommes que les femmes. Avec le sourire, Véro acquiesce, et fait ainsi quelques heureuses et heureux de plus sur cette basse terre. Puis un autre spectacle se met en place, et les clients s’éloignent de nous pour y ...
... assister. Enfin, un peu de paix ! Tandis que la musique retentit, Véro s’approche de moi, telle la chatte dont elle a revêtu la tenue : — Mon pauvre Mimi, je ne me suis pas beaucoup occupée de toi, aujourd’hui…— Tu as été très demandée…— C’est vrai, c’est… c’est délirant, quand j’y pense. On dirait que je suis en plein conte de fées, un conte de fées pour adultes… Elle sourit, les yeux perdus dans le vague. Soudain, sans transition, elle ordonne : — Allez, Mimi, sors ta belle bite que je lui fasse un sort !— Là, ici, maintenant ?— Bien sûr, ça sera encore plus excitant ! Je m’exécute, et sitôt ma queue dehors qu’elle est capturée par la bouche inassouvie de bites, cette grande dévoreuse insatiable. C’est avec délectation que je me laisse faire par une Véro accroupie sur la banquette, remuant ostensiblement du popotin. Ma première main capture un sein lourd tandis que l’autre caresse une fesse. Ça doit être ça, un goût du paradis, le vrai, pas celui avec les anges qui jouent de la harpe. Soudain, dans la torpeur dans laquelle je m’étais enfoncée, j’entends une voix masculine connue : — Tu permets ? J’ouvre les yeux, et je vois Patrice positionné juste derrière sa femme, avec la visible intension de lui faire son affaire. De son côté, Véro s’active toujours autour de ma bite, sans prêter attention à qui est derrière elle. L’a-t-elle reconnu à la voix ? Ou s’en fiche-t-elle, au stade où elle est arrivée ? Sans effort, Patrice s’enfonce dans la croupe rebondie, puis sans plus de ...