1. Première fois avec une blanche (1)


    Datte: 09/02/2018, Catégories: Hétéro

    Quand il est arrivé dans cette petite unité détachée de la compagnie principale, André, jeune antillais de 20 ans a eu la surprise de se retrouvé loger dans le bâtiment des familles des gradés. Trois familles pour être précis, dont deux jeunes femmes blanches qui ont de suite été l’objet de ses fantasmes les plus fous. Deux amies d’une trentaine d’années, mères de famille et toujours ensemble. Une blonde et une brune, pas très grandes, la brune un peu plus ronde que son amie. Il fait chaud aux Antilles et les femmes portent des robes légère, assez courtes, moulant agréablement leurs formes. Transparentes parfois et le soir il sait pour les avoir croisées plusieurs fois dans la caserne, la couleur de leurs petites culottes. Elles sont aussi, souvent l’après-midi, assises au frais sous les arbres de la pelouse qu’il est chargé d’entretenir. Elles ont chauds et parfois oubliant sa présence, ouvrent un peu trop leur belles cuisses dorées lui offrant une vue sublime sur leurs trésors les plus intimes. Le soir seul dans sa chambre, il pense à elles et ne tarde pas à se donner du plaisir, s’imaginant couché sur elles et leur faisait l’amour. Il revoit alors leurs cuisses, leurs petites culottes entre-aperçues, leurs fesses, qu’il ne se prive pas de regarder quand il marche derrière elles. Celles plus dodues de la petite brune, l’attirent plus. Il se voit la prenant, elle couchée sur le ventre et lui offrant sa croupe généreuse. Ses jets de sperme sont alors abondants. Ce soir, il y ...
    ... a fête à la caserne de la Compagnie et presque toutes les familles de militaires du poste sont là. Il a aperçu l’objet de sa convoitise et se promet de l’inviter à danser. Son mari un sergent est surtout occupé à danser avec l’autre, la jeune blonde, amie de sa femme. Il sait que la brune s’appelle Josette, plusieurs fois il a remarqué en la croisant à la caserne qu’elle le regardait d’un air hardi, sans baisser les yeux. Plusieurs fois se retournant pour mâter sa croupe, il l’a surpris qui elle aussi se retournait sur lui. Elle lui fait trop envie. Il n’a jamais eu de femme blanche et se promet bien d’essayer avec elle ce soir. C’est que cœur battant qu’il s’est dirigé vers la table occupée par les gradés du poste et a demandé au Sergent s’il pouvait faire danser sa femme. Elle l’a suivi sur la piste, son mari trop heureux de pouvoir danser avec sa cavalière habituelle l’ayant invitée à suivre son jeune cavalier. Maintenant ils sont sur la piste de danse où se presse une multitude de danseurs. L’orchestre qui jouait une biguine, vient de commercer un slow. Ils ont dansé la biguine sans se parler, André ne sait pas trop comment entamer la conversation, il est un peu intimidé. Quand le slow a commencé la jeune blanche ne s’est pas écartée de lui, mais il a vu le regard qu’elle lançait vers son mari qui dansait toujours avec son amie. Lors de la biguine leurs corps s’étaient parfois frôlés sans qu’il perçoive une résistance de la jeune femme. Le slow est une danse ou les corps ...
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