Investigations - Histoires de Sexe

Investigations

... la brune vint se planter devant lui : — Bon, maintenant, fini de rire ! Ton nom, d’abord ?— Sylandre, s’entendit-il répondre avant de penser à s’en inventer un.— Je ne sais pas depuis quand tu nous suis, Sylandre, mais si en ville tu t’es très bien débrouillé, j’ai eu des doutes dès qu’on est passées sous les arbres, et il ne m’a pas fallut cinq minutes pour qu’ils deviennent une certitude – tu aurais été plus discret aux commandes d’un tank !— Mais alors, tu savais que j’étais là, quand tu as… Ce fut Lilya qui répondit à la place de son amie, tout en venant l’enlacer par derrière : — Évidemment, qu’elle savait que tu la regardais faire pipi, gros bêta ! Elle en a même rajouté, pour que tu ne perdes rien du spectacle. Le bonus, c’est qu’en plus t’as tout filmé ! Tout en parlant, elle avait glissée une main dans le débardeur de l’elfe jusqu’à ses seins, dont elle caressait alternativement les tétons durcis, et avait plaqué l’autre sur son entrejambe, qu’elle massait doucement à travers ses habits. Et si leur spectateur ne savait rien de la barre de fer incrustée entre fesses et ventre, les ondulations de leurs deux corps parachevaient cette torride exhibition… D’ailleurs, elle se révélait efficace même sur Sylandre, malgré sa peu enviable situation. — Alors, vous êtes bien des gouines… murmura-t-il. Vous avez été plus discrètes, pendant ces trois semaines. Malgré nos doutes, on n’a jamais pu en être sûrs… À regret, les deux filles arrêtèrent leur délicieux manège, et Kina ...

... lâcha avec un grand sourire de triomphe : — Merci, tu nous as appris tout ce qu’on voulait savoir !— Quoi ? s’étrangla-t-il.— Mais oui, tu – ou plutôt « vous » – nous suivez depuis trois semaines, c’est-à-dire depuis qu’on a commencé à vendre nos perles à ce gros lard qui suintait la satisfaction rancie, là… Donc, tu fais partie de sa bande, c’est lui qui nous a fait suivre… Faudrait apprendre à faire attention à ce que tu dis, mon grand !— … Qu’allez-vous faire de moi, maintenant ? demanda-t-il finalement, dépité.— Pour l’instant, tu vas passer la nuit ici, décida Lilya. Si on n’est pas revenues te récupérer d’ici demain, tes copains te retrouveront sûrement en quelques jours.— Vous êtes folles ! Vous allez pas me laisser seul, attaché, dans cette jungle, en pleine nuit ?— T’affole pas, ’y a aucune grosse bébête méchante pour te manger, par ici…— ’Y a quand mêmes les insectes, lui rappela Kina, si on le laisse comme ça, on retrouvera un tas de chairs à vif, au matin…— Bah, on n’est pas chiennes, on va lui laisser un de nos anti-moustiques. Et sans plus se préoccuper de ses jérémiades et menaces entremêlées, elles s’enfoncèrent dans la sylve, de nouveau seules. Dès qu’elles furent hors de portée des mâles oreilles, la jeune elfe, encore émoustillée par les attouchements de son amie, ne résista pas au plaisir de l’asticoter quelque peu. — Dis-moi, Lilya, tu le trouves comment, ce Sylandre ? Il te plaît ?— Oh Kina, franchement… Oui, je pense qu’il est plutôt beau garçon, dans son ...