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Nicole et sa fille. 8
Datte: 10/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe
Nicole et sa (belle)fille. Une seule bite pour deux chattes.2 Stéphanie Putain ! Je n’aurais pas cru ma belle-mère aussi chaude ! Il est vrai qu’aux yeux des enfants, on ne réalise pas toujours que nos parents ont connu l’amour avant nous et peuvent eux aussi s’éclater en faisant des galipettes. Pierre bande à nouveau comme un dingue après le spectacle en gros plan de nos chattes. Je me saisis de son pénis. Ce que j’apprécie chez lui, c’est qu’il rebande très vite et qu’il lui reste encore assez de ressources pour nous satisfaire pleinement. J'adore garder en bouche son sexe doux et chaud quand il éjacule et me fait don de son sperme épais et savoureux. Au début, je n’appréciais pas mais maintenant j'avale tout et m’en régale et même en redemande. - Maintenant, je vais vous enculer! Nous informe-t-il. Il est si beau et la partie de son corps que je préfère est cette tige pharaonique splendidement dressée comme l’Obélisque sur la place de la Concorde. Je n’ai pas besoin de fantasmer sur sa taille. Elle est si imposante que j'en ai plein les yeux… et plein les mains ! Je l’ai tellement dans la peau que dès que sa bite si raide et si douce envahit ma chatte, je suis au Nirvana. Je n'ai jamais connu avec un autre homme un tel bonheur. Je ne me lasse jamais de la câliner comme maintenant, de la caresser, de la sucer. Même après l'effort, quant elle perd de sa superbe, elle impose toujours le respect. Je suis aux anges quand je la vois se redresser fièrement, et devenir dure et ...
... longue et si épaisse sous mes caresses. Il m'a aussi initiée à la sodomie. Il m’a fallu un certain temps avant d’y prendre un réel plaisir. C’est une jouissance trouble, plus cérébrale que physique. Mais je ne crois pas que Nicole n’ait jamais pratiqué ça. Enfin… Qu’est ce que j’en sais ? Il met ses doigts dans sa bouche pour les enduire de salive et glisse la main entre mes fesses. Je l’aide comme je peux pour lui faciliter la tâche. Deux doigts rentrent comme dans du beurre dans mon anus tellement je suis ouverte, prête à le recevoir. Sans un mot, je me mets à l’envers sur lui pour empaler mon petit trou sur sa queue. Je présente mon œillet à son défonce-cul. Je saisis d’une main son sceptre et d’un coup, introduit le gland trigonocéphale dans mon anus. Une fois le portail passé, je fais visiter à cette intrus ce long couloir sans fin puis monte et descends telle une furie sur cet axe d’airain. Je la fais ressortir puis m’empale à nouveau, encore et encore, poussant des râles et des « han » sous l’effort. Je suis comme dans un état second, me perforant toute seule. Mais il décide de reprendre l’initiative. Il passe ses mains sous mes cuisses qu’il décolle du sol. Je ne peux plus rien faire, c’est lui qui tient le manche. Enfin… Façon de parler. Il se redresse d’un formidable coup de reins et je me retrouve suspendue dans le vide, uniquement retenue par ses bras puissants et ce pieu solidement enfoncée dans ce puits sans fond. Je m’accroche comme une noyée à son corps puissant ...