Ne pas négliger les préliminaires (1)
Datte: 09/07/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... pas un rendez-vous sexuel, je ne m’y connaissais pas, d’autant que la présence d’Élodie laissait supposer que cela allait tourner au plan à trois; ce serait une première pour moi si c’était le cas. Voilà à peine cinq minutes que j’étais rentré dans l’appartement, que déjà j’avais une érection de malade. Les deux femmes étaient de la même taille pratiquement habillées de la même façon, avec des jupes très longues mais très douces des chemisiers très fins, sans doute en soie. À deviner la pointe de leur seins érigées comme ils l’étaient à travers leur chemisier, je pouvais sans problème en conclure qu’elles étaient assez excitées. Elle m’ont invité à m’asseoir dans le canapé, Jacqueline est venue s’asseoir à mes côtés, je sentais qu’elle manquait un peu d’assurance mais en même temps qu’elle était pressée de passer à l’acte. Élodie lui a expliqué qu’il fallait qu’elle se laisse faire désormais. — Franck va prendre les commandes de ton corps et il va essayer de te donner du plaisir. — Fais-lui confiance, c’est une personne correcte et je sais de quoi je parle. Élodie venait de présenter les choses le plus précisément possible j’allais maintenant passer à l’action avec une voyeuse qui je l’espère allez être discrète. Élodie est partie s’asseoir dans un confortable fauteuil et moi je me suis agenouillé entre les jambes de Jacqueline, je l’ai débarrassée de sa culotte en lycra blanc, elle portait aussi des bas autofixants que je lui ai laissé car ils étaient vraiment très doux. ...
... Cela a été plus fort que moi, je n’ai pas pu me retenir d’admirer cette pièce de tissu, qui sentait bon la femme et surtout présentait des auréoles, sans doute de cyprine. Pour une femme qui souffrait de sècheresse vaginale, je constatai qu’elle avait une culotte bien mouillée. Sous le regard attentif de Jacqueline, j’ai porté ma langue sur cette tâche qui avait vraiment bon goût, elle m’a regardé avec un regard complice mais surtout coquin. Je ne vais pas dire que j’étais expert dans le broutage de minous, mais je savais que avec un tel goût de cyprine, un vagin ne pouvait pas être desséché. J’ai passé plusieurs minutes à me délecter des dépôts intimes dont était imprégnée la culotte, le goût était vraiment divin. J’ai ensuite fait allonger Jacqueline sur le canapé avec une jambe par terre et une posée sur le dossier du canapé. J’avais maintenant une vue magnifique sur son entrejambe, sa toison était vraiment bien entretenue, moi qui suis très sensible aux odeurs féminines j’étais comblé. J’ai commencé par effleurer l’intérieur de ses cuisses en faisant en sorte que mes doigts entrent le moins possible, en contact avec sa peau. Rapidement je l’ai entendue soupirer et contracter son corps, j’en ai conclu que j’avais déjà trouvé la bonne technique. Mes doigts se promenaient du niveau de ses genoux jusqu’au sommet de ses poils pubiens, je n’avais juste qu’à frôler ses poils pour qu’elle sache que ma main était dans les parages. Ma main décrivait, un coup des cercles rentrants, un ...