Un vendredi après-midi au bureau
Datte: 10/02/2018,
Catégories:
ff,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
Lesbienne
... boutonner et à m’asseoir prestement sur l’un des deux fauteuils face au bureau, non sans lui avoir murmuré, au moment où la porte s’ouvrait, un « salope » bien senti, auquel elle m’a répondu par un petit « oui, je sais… », rieur. L’homme est entré, la bienséance n’oblige pas, heureusement, les dames à se lever pour accueillir un monsieur. Chemise bien tirée sous mes fesses et sur les cuisses, je pouvais donner le change, même si, à mon avis, et au premier regard, il a repéré, quand même, une longueur limite dans la tenue d’une cadre… Pour autant, il n’en a rien fait paraître. Assis dans le fauteuil voisin du mien, l’homme est resté professionnellement concentré sur le sujet qui l’amenait. Les échanges étaient intéressants, constructifs. Bref, une conversation pro tout ordinaire, mis à part que, dans le trio, il y en avait une à poil sous sa chemise « ras la touffe » qui n’était pas très à l’aise… . À un moment, son téléphone a sonné, et, non sans s’être excusé de devoir répondre, il a pris l’appel. Catherine en profite pour me tendre une feuille, sur laquelle elle a écrit ces quelques mots : Le choix n’en était pas un, je me suis donc exécuté. C’est ainsi que nous avons poursuivi l’entretien, moi cuisses ouvertes plus que de raisonnable face à une Catherine qui n’en perdait pas une miette, main gauche au contact de mon intimité lisse, ne quittant pas notre interlocuteur des yeux, de peur qu’il ne soupçonne quelque chose. La conversation achevée, l’homme s’est levé, ...
... Catherine également. Je ne pouvais pas, cette fois, décemment, rester assise. Je me suis donc levée également, essayant de garder mon naturel. À son regard, il était évident qu’il se posait, pour le moins, des questions sur ma tenue du moment. Ma chemise arrive certes à mi-cuisses, mais, logiquement, il aurait dû apercevoir, en dessous, la trace d’une jupe, au moins sur quelques centimètres… Toujours très courtois, il n’en a, néanmoins, rien laissé paraître, si ce n’est un serrage de main sans doute plus long que de convenance et un regard plein d’interrogation masculine. La porte refermée derrière lui, Catherine, dans mon dos, m’a saisie par les épaules, a déboutonné ma chemise et m’a conduite devant un miroir, dans un angle de la pièce. — Tu es belle, mon Agathe, quand tu te caresses… Refais-le pour moi, là. Soumise, comme je sais l’être, je me suis exécutée, une main sur mes seins, l’autre sur mon intimité, soutenant le regard de Catherine par glace interposée. Elle a souhaité que j’aille jusqu’au plaisir, je l’ai fait : j’ai joui sous ses yeux, la tête renversée en arrière, sur son épaule, tandis qu’elle-même joignait ses doigts aux miens dans mon sexe trempé et brûlant. Quelques instants plus tard, Catherine, assise derrière son bureau, me regarde remettre ma tenue, complète cette fois, rieuse et d’humeur coquine. — Je crois que je vais t’interdire de porter des sous-vêtements. D’ailleurs, idéalement, tu devrais être nue tout le temps dans mon bureau. Terminant de refermer les ...