1. Cinéma, cinémas...


    Datte: 10/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... plus profond, me confirment cette demande. Je n’ai plus besoin de me branler… Je suis à point. « Brunette », qui a tout compris, semble exiger de n’être pas mise hors-jeu avant la fin et, forçant sa comparse par le poignet, l’oblige à engager entièrement sa main fine à l’intérieur de sa chatte. La blonde s’exécute avec docilité. Elle amorce un pilonnage, en douceur, mais bigrement efficace, associé à une léchouille appuyée du clito. Ne pouvant pas rester éternellement dans cette position d’attente et ayant, si l’on peut dire, la goutte au bord du vase, j’écarte le cordon du string et enfourne, sans préambule, la chaudasse. A partir de ce moment je ne maîtrise plus rien, c’est « Blondinette » qui mène la danse, du cul autant que du poignet, elle synchronise tous ses mouvements dans le seul but de nous porter tous trois à une extase concomitante. Je ne bouge même pas, je me laisse limer au rythme de son cul, lui-même réglé sur le tempo de son avant-bras qui défonce allègrement « Brunette ». Je vois bien que la « fistée » déguste à fond, c’est le cas de le dire, au point de se renverser, sans véritablement contrôler la position de ...
    ... son corps, comme ensorcelée, s’accrochant tant bien que mal au dossier. Sa jambe droite, agitée de spasmes, s’étire jusqu’à moi, me menaçant d’un escarpin Louboutin au talon effilé. Elle ne me quitte pas du regard lorsque son visage se crispe un peu. Son souffle tourne au râle délicat, annonciateur du grand tremblement. Qu’elle me soit, en cet instant précis, absolument inaccessible, décuple mon excitation. « Blondinette » le sent, le moment est venu. Son sexe m’engloutit littéralement, j’en sens toutes les aspérités internes à l’œuvre pour m’enduire et me masser, elle tortille du cul à m’exploser le chibre, prend des embardées à se dilater l’utérus, à chaque retour sa mouille éclaboussant mon pantalon. Et soudain, au moment du film où un bruit de foule envahit la salle, nous nous mettons à hurler tous les trois tels des grands malades en nous tortillant comme des anguilles sur le pré. Nous jouiiiiiiisssssons. Je retiens autant que possible ma semence et pris d’une pulsion inhabituelle, je m’extirpe des profondes moiteurs de « Blondinette » pour gicler abondamment sur la doublure du Burberry dans un ultime aller-retour manuel. 
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