Serva tua sum
Datte: 11/02/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
fsoumise,
Oral
attache,
init,
initiatiq,
fsoumisah,
... aussi nue. Je prends avec moi la couverture. Je traverse le salon pour aller rejoindre sa chambre. Il dort, je le regarde, je le contemple. Sa respiration est si calme, il est si beau ainsi. Agenouillée, je le contemple quelques minutes puis je me relève. J’avise son peignoir de bain, j’en extirpe la ceinture que j’attache au pied du lit puis à l’anneau de mon collier. Je me love sur la descente de lit, enveloppée de ma couverture, et je m’endors tout de suite : je suis enfin si proche de mon Maître ! Au petit matin, mon Maître me réveille. Il me dit qu’il est heureux que j’aie pris cette initiative et qu’il m’en félicite ; je me sens toute chose et si fière d’avoir fait ainsi plaisir à mon si particulier précepteur. Je file ensuite à la cuisine préparer le petit déjeuner, j’ai aussi appris qu’il ne fallait pas le négliger, alors je m’applique. Quand tout est prêt, je viens quérir mon Maître. Je vois sa silhouette se détacher à contre-jour de la fenêtre aux lourdes tentures. Ça me fait comme un choc de la voir ainsi, je ne saurais dire comment et pourquoi. Il se retourne alors vers moi, sa robe de chambre est ouverte sur son corps à peine couvert. Son torse est si viril, si protecteur ! Mes yeux descendent plus bas, sous la ceinture négligemment nouée. Avec une certaine convoitise, j’observe ce qu’il offre à mon regard, cette chose si douce dans ma bouche, si dure dans mon sexe, si souple dans mes mains… J’irais bien me servir, le prendre tout de suite en main ou en ...
... bouche, mais quelque chose dans son regard me dit d’attendre. Il passe devant moi, je le suis. Il s’installe à la table, il contemple ce que j’ai pu préparer. Nous mangeons, il me parle de tout et de rien, j’écoute. Je vais pour me servir un second verre de jus d’orange quand il m’arrête : — Auriez-vous encore soif ? me demande-t-il dans notre latin de convention.— Si, Magister !— Alors, passez sous la table, venez entre mes jambes boire ma liqueur ! J’en ai plus qu’il en faut pour étancher votre soif ! répond-il en français, avec une pointe d’accent faussement aristocratique.— Oui, Maître ! Et ravie, je passe sous la table, je m’agenouille entre ses jambes, face à la chaise, sa tige de chair est déjà bien grosse, elle palpite même ! J’ai un petit pincement au cœur de fébrilité quand j’ouvre la bouche pour accueillir un gland odorant. L’instant d’après, mes lèvres se referment sur mon objet de convoitise que je suce avec délectation. Je m’applique tant et si bien que peu après, je reçois ma récompense sous forme de salves épaisses et chaudes qui explosent dans ma bouche ! C’est vrai que c’est autre chose qu’un jus d’orange en consistance et en satisfaction ! Je recommencerais bien chaque matin… --ooOoo-- Mon apprentissage avec mon Maître est à présent achevé. J’aurais cru que je serais toujours restée avec lui, à le servir, mais je dois reconnaître que je suis prête à passer l’étape suivante, et ce n’est pas avec Suétone que je pourrais continuer mon chemin dans la voie de la ...