1. Serva tua sum


    Datte: 11/02/2018, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, Oral attache, init, initiatiq, fsoumisah,

    ... pour aller plus loin.— S’il n’y a pas mieux, pourquoi l’as-tu quitté ? Une petite pause, elle cherche ses mots, sans doute… — Oh ! c’est tout simple : moi, je cherchais les trucs de groupe avec plein de Maîtres et d’esclaves, tu sais, les trips SM avec échanges et concours de soumission. DM est plutôt un intimiste, du coup, il m’a conseillé un autre Maître, avis que j’ai suivi, sans m’en mordre les doigts d’ailleurs. Mais quand j’ai voulu changer pour aller encore plus loin, j’aurais dû aussi lui demander conseil. Résultat, je me suis farci un malade !— Je me souviens de l’épisode…— Oui… C’est d’ailleurs Suétone qui m’a tirée d’affaire et qui m’a aiguillée sur un Maître plus… adéquat… Du coup, maintenant, je ne prends plus de risque, quand j’ai un truc spécifique à expérimenter, c’est à lui que je demande où et comment. Et pour l’instant, tout va pour le mieux.— Ah bon ?— Il est de bon conseil, ça c’est sûr, même pour les trucs qu’il ne pratique pas.— Ah ? Il ne pratique pas quoi ?— Les trucs trop hard comme les mutilations, le fer rouge, enfin tous ces trucs-là… Le seul marquage qu’il accepte de faire, c’est au feutre indélébile ! Tu enlèves ça à l’alcool à quatre-vingt-dix degrés ou avec divers solvants, mais faut faire quand même gaffe, certains sont nocifs !— Bref, si je comprends bien, c’est un Maître plutôt soft.— Par rapport à ce que je pratique actuellement, oui, il est soft, très soft. Je respire, ce n’est effectivement pas un malade. D’un coup, je songe à quelque ...
    ... chose concernant Soupir du Matin : — Eh ho, ne me dis pas que tu fais dans le fer rouge et la mutilation ?— Franchement, si j’avais sous la main un Maître style Suétone en version hard de chez hard, je crois bien que je sauterais le pas dans la joie et l’allégresse !— Mais… t’es marquée à vie avec un truc pareil !— Oui, je sais ! C’est pourquoi il faut que tu tombes sur le bon Maître.— Mais ça fait horriblement mal !— Oh, tu sais, la douleur et le plaisir sont si proches…— Quand même !— Il y a une énorme volupté à savoir qu’on appartient à quelqu’un, qu’on fait tout ce qu’il demande, et qu’on en réclame encore et encore… Là, c’est moi qui marque une petite pause. Dubitative, j’écris : — Si tu le dis…— Donc Suétone t’a contactée, à ce que je crois comprendre.— Oui… il me demande, en termes choisis, d’être sa soumise.— En termes choisis, je le reconnais bien là ! Je vais te faire un topo : avant de faire quoi que ce soit, il va mettre au point ta charte. Tu sais ce que c’est, je présume ?— Ne te fiche pas de moi, c’est le B.A.-BA !— Bien. Et crois-moi, c’est un méticuleux et un fignoleur ! Et pas que dans ça ! C’est même un perfectionniste. Quelque part, je le regrette, même si parfois la spontanéité en souffre. Mais c’est le genre de type à prévoir un extincteur, même si tu allumes une simple bougie !— OK, je vois le genre…— Néanmoins, il sait ce qu’il fait et…— Et ?— Comment dire… je ne sais pas comment il fait son compte mais… on dirait qu’il sait lire dans tes pensées !— ...
«12...456...17»