1. Leslie NR10


    Datte: 10/07/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... mes fesses. Le contact de son gland contre mon anus me fait frémir, il est énorme, je le promène un peu circulairement plusieurs fois pour m’habituer et lui demande de s’enfoncer en moi doucement après l’avoir placé sur mon œillet. Ses mains me saisissent aux hanches et déjà ses reins le propulsent délicatement vers moi. Mes mains écartent mes fesses au maximum, et son gland repousse enfin mon sphincter. Je pousse pour bien m’ouvrir en reculant par petits coups légers vers lui pour bien lui faire comprendre qu’il doit plonger graduellement. Son gland luisant de gel me pourfend et ma main se saisit de sa queue pour l’immobiliser quelques instants. - Je ne te fais pas mal ? s’inquiète-t-il alors. Tu es tellement serré ! - Non, mais tu es tellement gros ! Je sens ses doigts me serrer les hanches, et sa barre coulisse en moi lentement. Ma main se pose à plat contre son pubis, et chaque fois que j’ai besoin qu’il recule, une simple pression le lui fait comprendre. Avec beaucoup de délicatesse l’homme investit mes reins. Sa large queue distende mon trou au maximum et en quelques coups de reins, le voilà planté jusqu’à la garde. Qu’il est gros, long, je ne pensais jamais pouvoir me la prendre toute entière, et je sens qu’il est serré entre mes fesses. ...
    ... Je suis offert au maximum et ses bourses viennent lourdement s’écraser contre mes fesses à chaque plongée, m’arrachant des râles de plaisir. Il m’encule avec régularité, me tirant des hurlements de jouissance. Ses râles s’intensifient, sa main passe sous moi pour venir me branler, alors qu’il pousse encore plus pour me la mettre plus fort, me remplir le cul de sa queue et de son foutre. Soudain, il accélère la cadence et plante d’un coup son dard au plus profond de mon ventre, ses couilles s’écrasent contre le bas de ma fesse, d’intenses soubresauts parcourent sa hampe, son gland me dilate les intestins, il palpite et m’envoie d’énormes giclées de sperme au plus profond de moi. Puis totalement immobile en moi, il savoure son orgasme, celui qu’il vient de prendre entre mes reins, puis, lentement il recule, entraînant son sabre glissant encore dur hors de moi. Tout en me redressant et en prenant en main le membre de l’homme, je lui dis : Fabuleux ! - Ton petit cul serré est trop bon et si tu veux tu viens quand tu le veux, au même endroit qu’aujourd’hui… Je me rhabille, il me raccompagne à la porte et je disparais dans la nuit, il est temps de rentrer, le jour va bientôt se lever… J’ai le cul en feu, mais je vais certainement recommencé ! A suivre… 
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