Spectacle sous un chabite-au !
Datte: 12/02/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
copains,
uniforme,
fête,
odeurs,
intermast,
facial,
Oral
pénétratio,
humour,
... bêtement.— Merci, c’est gentil. Cela me fait plaisir que tu me le dises. Mais là j’ai hâte de me rafraîchir et de me démaquiller dans ma roulotte ! Tu veux m’accompagner, belle comme tu es, j’suis sûr que t’es une spécialiste du démaquillage…— Oui, bien sûr avec plaisir, Tudorin. On y va ! La-dessus, nous partons bras-dessus bras-dessous, en direction de sa roulotte. Cette même roulotte s’avère en fait très petite et constituée principalement d’une petite table avec un miroir afin de se maquiller et d’un lit étroit ainsi que de deux chaises. Tudorin s’assied sur la première chaise et déboutonne les premiers boutons du haut de son costume, laissant dévoiler un pan de son torse à priori mate, musclé et légèrement velu. Il prend un coton démaquillant et après l’avoir imbibé d’un lait il commence à frotter son maquillage blanc en commençant par le contour de ses yeux. Debout, dans son dos je le regarde captivée par ses gestes précis et rapides. Et alors, qu’il commence à démaquiller le bord de ses lèvres, je me lance dans une tirade qui va bouleverser à la fois mon coeur et plus tard notre relation jusqu’alors amicale : — Tu veux que je t’aide. Je suis une fille c’est mon rayon tu sais ! Retourne-toi et donne-moi un coton, je vais t’aider à te démaquiller… Tudorin se retrouve face à moi. Les yeux dans les yeux. Je commence à démaquiller légèrement son front puis le bord de ses lèvres fermes et fines. Nos visages se rapprochent. Ses lèvres sont à quelques centimètres des miennes ...
... puis elles se touchent… Nous commençons par un long baiser langoureux et profond. Ses mains prennent mon visage. Je ressens un courant électrique le long de mon échine. Je commence à déboutonner son costume et j’entrevois son torse. Ma bouche caresse sa peau, son cou, son buste. Il sent bon un mélange à la fois de virilité et de sueur. Mes lèvres se posent sur son cou, le haut de ses épaules, sa poitrine. Je déboutonne mon chemisier, laissant apparaître ma poitrine enveloppée dans un soutien-gorge rouge en dentelle. Nos mains, nos langues s’unissent. Tudorin dégrafe mon sous-tif et empoigne mes seins. Il les serre puis y plonge sa tête. Mes tétons aux contacts de sa langue durcissent et je ressens mille fourmillements de plaisir. Ensuite, il me prend dans ses bras et m’emmène sur le lit. Il est au-dessus de moi. On se caresse mutuellement et dans ces mouvements interdits ma jupe tombe, je me retrouve à sa guise (et à mon grand plaisir) en string rouge au niveau de mes genoux puis très vite à terre… Je suis nue face à lui, à son ardeur. Ses doigts atteignent malicieusement mon petit trésor à la toison brune et humide par l’excitation. Il me caresse doucement, commençant par mes lèvres, puis son majeur imprégné par ma liqueur se fraie un chemin lent et agréable jusqu’au plus profond de mon être. Ses doigts jouent avec mes parois secrètes. Quant à mes mains, après avoir ouvert sa combinaison de clown, elles cajolent son sexe dressé, de taille fort raisonnable. On se masturbe tout ...