1. Belle-maman


    Datte: 12/02/2018, Catégories: f, fh, fplusag, alliance, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation facial, Oral 69, pénétratio, fsodo, tutu,

    ... prendre ton traitement maintenant. Immédiatement, je m’assois face à mon fils qui m’a gratifié d’un câlin en passant. Ma belle-mère arrive, l’inhalateur à la main, et se penche pour bien l’appliquer sur le bas du visage de l’enfant. Avec la lumière du jour, ses jambes nues sont un régal pour les yeux, elles montent interminablement vers les fesses qui ont mangé letanga. Mangé, non ! mais disparu, oui ! Mon pantalon est prêt à craquer tant la tension souterraine devient intenable. Elle a les jambes bien serrées, les fesses aussi, ce qui m’interdit toute vision plus fouineuse, mais le spectacle est inimaginable. Mon pénis palpite dans le tissu serré mais je n’ose me toucher de peur d’une catastrophe. — Tu préfères me voir jouer ou donner les médicaments ? demande-t-elle avec une fausse candeur dans la voix.— Et… euh…— Tu n’es pas très loquace.— Huguette, j’aime tout ce que tu fais, réussis-je à sortir dans un souffle.— Tu m’en vois absolument ravie, mon cher gendre, dit-elle d’une voix sensuelle en se redressant. Puis elle ajoute, à l’adresse du petit : — Fais un câlin à papa car il doit vite aller au travail. Avant de partir, je tiens à remercier Huguette en la prenant dans mes bras, je profite de ce court instant pour sentir sa poitrine chaude s’écraser sur la mienne, le visage enfoncé au creux de son cou. Elle n’est pas insensible à la caresse, surtout que mon bambou est toujours à la fête et qu’elle ne peut l’ignorer. À regret, elle me repousse sans un mot en détournant ...
    ... la tête pudiquement, tel un enfant prit sur le fait. – A ce soir, ma chère belle-mère. – A ce soir, mon cher Francis, répond-elle en partant vers la cuisine. Je la regarde quelques instants avant de sortir et foncer à vive allure vers l’immeuble où se trouve mon bureau. Je ne coupe pas aux railleries de mes collègues sur le fait d’arriver avec trente minutes de retard au retour de quinze jours de congés. Heureusement, le mois de mai est truffé de jours fériés, et comme beaucoup de sociétés tournent un peu plus au ralenti, je peux me remettre à bosser sans pression. C’est tellement calme que le chef de secteur nous autorise même à sortir une heure trente à l’avance. — Même Francis a droit à ce traitement de faveur, ajoute-t-il pour me taquiner. Je ne prends pas mal du tout cette plaisanterie, trop content d’aller voir ma tendre exhibitionniste. Je roule vite pour ne pas perdre une seconde mais je fais tout de même un petit arrêt histoire de ne pas arriver les mains vides. Sa voiture est dans la cour : chouette, elle n’est pas allée se promener ! Elle ouvre la porte, surprise mais très contente de ma venue, et me le fait savoir par des bises très câlines sur mes joues empourprées. Lorsque je lui tends les modeste fleurs que j’ai achetées, la nouvelle série est plus équivoque, le dernier étant déposé à moitié sur les lèvres. Cette fois-ci j’ai tourné la tête au bon moment, – Entre, petit coquin, mais fais doucement. Jules vient de s’endormir. Elle s’affaire quelque minutes pour ...
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