Belle-maman
Datte: 12/02/2018,
Catégories:
f,
fh,
fplusag,
alliance,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
facial,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
tutu,
... Lorsqu’elle quitte la douche, le long tissu éponge est noué sur sa poitrine et cache son corps jusqu’aux genoux. Frustré, que je suis ! Eh non, ce n’était pas le jour ! dit-elle en me laissant seul dans la salle de bain. Je me lave rapidement et me sèche avec la serviette qu’elle m’a gracieusement laissée à portée, puis je finis de m’habiller dans le salon,boxer en moins, bien entendu. Il finit en boule dans une poche de ma veste. Madame revient complètement habillée et assagie, nous papotons de tout et de rien tandis que je l’aide à nettoyer sa bévue. Lorsque le petit Jules se réveille, je l’emmène à la maison. Le reste de la semaine est plus sage. Juste quelques petites exhibitions sympathiques : la routine, quoi ! Mais celle-là, contrairement à beaucoup d’autres habitudes, je n’ai pas encore réussi à m’en lasser. Ce samedi, nous arrivons chez les parents de ma femme vers onze heure trente. Nous avons prévu de boire l’apéritif pendant que Jules prendra son repas, et à l’heure de sa sieste, il prendra place dans la chambre d’ami tandis que nous passerons à table pour pouvoir manger paisiblement. Huguette a fait des efforts vestimentaire pour ce repas, il fait frais en cette fin du mois de mai et elle a profité de l’occasion pour recouvrir de nylon ses jambes musclées. Des chaussures pointues à talons couvrent ses pieds tandis qu’une jupe courte et bouffante sur le bas entoure ses hanches et à peine la moitié de ses cuisses. En haut, une veste courte de la même teinte que ...
... ses escarpins laisse voir par l’ouverture un haut voilé sur le dessus des seins et opaque à partir du milieu de sa poitrine. La pression commence à monter dès la première vision, un cran de plus lorsqu’elle pose ses lèvres maquillée sur mes joues en attrapant ma nuque d’une main et en appuyant sur ma poitrine de l’autre. Nous ne nous installons pas sur la terrasse, mais dans le petit salon témoin de nos quelques grivoiseries, et Huguette profite de toutes les occasions pour me laisser voir sous sa jupe ou plonger dans son décolleté. Tout est fait naturellement, gracieusement, tout en discutant avec l’un ou l’autre, ce qui fait qu’à aucun moment quelqu’un ne remarque son espiègle manie de s’accroupir dans ma direction. L’alcool anisé, pourtant bien frais, ne parvient pas à calmer le feu qui brûle dans mon bas-ventre, et je décide d’en prendre un second verre pour voir s’il me fera davantage d’effet. En vain ! Je ne peux détacher mes pensées et mes yeux de belle-maman qui papillonne autour de la table, tandis que Marine et « l’autre » donnent à manger à Jules. Le repas se passe calmement, je suis assis à côté de mon épouse et face à sa mère, configuration de table ou beau-papa et moi sommes le plus éloigné. À part deux ou trois câlins de nos pieds, rien de notable à signaler. Après le repas, le vieux mâle va faire la sieste et Marine, vautrée dans un des canapés, bouquine une revue féminine tout en regardant une série américaine à la télévision. — Marine, tu veux m’accompagner à ...