1. Sophie, fleur de printemps...


    Datte: 12/02/2018, Catégories: f, jeunes, copains, fépilée, école, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation rasage, jeu,

    ... arriver, elle s’introduit un doigt, puis deux dans le vagin. L’agitation frénétique qui s’ensuit pendant une bonne dizaine de secondes lui suffit amplement à la faire jouir dans un grand gémissement que Sophie ne retient pas, ses parents et son frère n’étant pas encore rentrés. Puis après l’euphorie vient la traditionnelle honte de s’être donné du plaisir, Sophie n’assumant pas encore sa façon de se contenter. Après un tel moment de bonheur, le retour au monde et à ses préoccupations ne peut guère réjouir Sophie. La soirée qui s’ensuit est longue, la jeune fille ne trouvant rien de mieux à faire que d’aller regarder en famille la télé, après avoir bâclé un devoir d’histoire. Sophie va ensuite rapidement se coucher. Sans qu’elle s’en rende compte, elle trouve son sommeil un peu plus facilement que la veille. Bien sûr, la séance de plaisir de l’après-midi n’est pas étranger à cet apaisement. Ce mardi ne peut être qu’une journée forcément différente de la veille. En effet, cette journée est la seule permettant à Sylvie de s’acquitter de sa tâche. La classe étudie depuis deux semaines les organes reproducteurs, et le cours de la journée fournit à la jeune femme un excellent prétexte pour poser des questions. Alors que le professeur vient de terminer la description des organes génitaux de la femme, Sylvie lève la main. Autorisée à prendre la parole, elle ose d’une voix timide une première question. — Monsieur, heu… on est encore vierge lorsqu’on s’est mis un doigt ? Le silence ...
    ... qui s’ensuit est furtif, et laisse immédiatement place à un éclat de rire général. Le professeur, surpris par une telle question, s’amuse de voir le visage de Sylvie virer au rouge cramoisi. — Euh… et bien oui Sylvie. Arrêtez de rigoler les autres, c’est une question sérieuse ! Sylvie se retourne alors en direction Aurélie. Celle-ci lui lance un regard insistant et un mouvement de tête invitant Sylvie à poursuivre. Alors que le professeur essaie de calmer ses troupes, la jeune femme reprend la conversation. — Et si… si c’est autre chose qu’un doigt Monsieur ? Cette deuxième question amuse beaucoup moins le prof, qui sent le chaos se répandre dans la classe à toute vitesse. Doutant de la naïveté d’une telle question, il répond d’une voix sèche pour couper court à cette tentative de déstabilisation. — Ecoute Sylvie, si tu as encore des questions comme ça tu viens me les poser après le cours. Maintenant j’aimerais bien que toi et tes camarades vous vous calmiez, sinon y’en a qui vont finir dehors ! Ramenant tant bien que mal le silence après un long moment, le professeur peut enfin poursuivre le bon déroulement de son cours. Seuls quelques chuchotements viennent interrompre son débit monotone, ces messes basses ayant pour unique objectif de tourner Sylvie en ridicule, celle-ci n’osant plus lever la tête. Les filles de la classe se montrent toutefois bien moins moqueuses que les garçons, la plupart de celles-ci étant d’ailleurs concernées par au moins l’une des questions de leur ...
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