1. La rechute


    Datte: 12/02/2018, Catégories: f, fh, inconnu, uniforme, nympho, Collègues / Travail toilettes, collection, Masturbation facial, Oral fgode, pénétratio, fdanus, québec,

    ... su ! Je pensais être seule dans un bureau et peut-être avoir, au besoin, à aller aux toilettes pour me faire de petites caresses si jamais la tentation était trop forte. Alors je ne m’étais mis qu’une petite jupe courte noire et une camisole (1) à larges bretelles, blanche et vert kaki. Je compris que ça n’allait pas être de tout repos pour moi quand je vis les mecs se lever d’un bond pour me saluer. Mes grands yeux bleus devinrent très ronds et je me mis à rire nerveusement, alors que je me retournai vers Sophie qui avait… déserté ! Je me dirigeai alors, tranquillement, mais sûrement, vers mon « supposé » bureau. Mais dans quelle galère m’étais-je embarquée ? Je sentais déjà l’humidité me gagner les cuisses… Je ne fis mine de rien en me concentrant sur les papiers qu’il y avait sur la grande table devant moi. J’ouvris l’ordinateur pour commencer à taper les textes et surprise… ma chaise faillit basculer en arrière : il y avait un mec presque nu comme fond d’écran ! J’ouvris un fichier Word afin de ne plus voir cette créature irrésistible. Comme je commençai à taper sur le clavier, je sentis des regards se poser sur moi, je levai la tête et me rendis compte que j’avais six paires d’yeux qui me contemplaient. Mais quel gaspille… j’avais quasiment le goût de me mettre à pleurer… trop c’est trop… et comme si ce n’était pas suffisant, la chansonInside Outside se mit à jouer dans la pièce. Ça résonnait dans ma tête, sans vouloir en sortir… Mon ancienne personnalité me regagnait ...
    ... peu à peu et je me sentais redevenir la cochonne que j’étais il y a deux semaines… Je devais d’abord aller à la toilette pour me satisfaire un brin, sinon je crois bien que je les aurais mangés tout cru ! J’attrapai mon sac à main et me dirigeai vers la salle de bains de l’étage. J’entrai dans celle-ci et verrouillai la porte, plus par habitude que par gêne. Je m’assis sur le comptoir entre deux lavabos et sortis un gode-vibrateur rose transparent de 8 pouces de longueur et de 5 pouces de diamètre. Je remontai ma jupe pour avoir accès à ma petite chatte rasée, lignée dans le centre par une petite stripe (2). Elle était déjà mouillée, elle s’ennuyait d’une bonne bite, j’allais lui en donner un aperçu, question de l’assouvir un peu avant la débandade ! J’appuyai mon gode sur mon petit bouton de sensation et mis la vibration en marche. Je commençai par une basse vitesse question de me faire grimper tranquillement au plafond. La sensation me faisait déjà grimacer… je sentais ma mouille me couler jusque dans l’anus, j’en avais les jambes qui faiblissaient. Je m’adossai au mur, et par le fait même je pouvais me regarder dans le miroir. Je remis mon gode sur mon clito et augmentai la vitesse d’un quart de tour, je pus sentir des chocs électriques qui me parcouraient le corps à une vitesse phénoménale. J’avais déjà plein d’images de grosses queues juteuses de militaires en chaleur… Plus j’y pensais, plus de violents spasmes me gagnaient. J’attrapai, alors le bouton de vitesse et le mit ...
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