1. Joëlle


    Datte: 13/02/2018, Catégories: fhhh, grossexe, grosseins, caférestau, voyage, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation entreseins, Oral préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, humour,

    ... surtout s’ils sont, dit-il, beaux et généreux comme les siens. Puis il enchaîne en insinuant qu’elle a de la gueule, mais qu’en fait c’est une dégonflée et termine en suggérant qu’elle fasse au moins une fois l’expérience, pour le fun, et pour ne pas regretter de n’avoir jamais osé. Max, notre troisième larron, ne dit rien mais capte tout… Avant de regagner les chambres nous lui expliquons que si on veut finir le chantier pour vendredi midi, il va falloir qu’on se lève super tôt demain jeudi, alors si elle peut nous laisser de quoi prendre le café avant l’ouverture… Elle nous répond qu’elle sera là pour nous servir le petit-déj à l’heure dite, soit une bonne heure avant l’horaire habituel, puis tout le monde va se coucher. Le lendemain, à cinq plombes, on descend au bar, et là coup de massue : le café et les tartines sont prêts, servis par une Joëlle hypersexy : mini-jupe de cuir et bas noirs, mais surtout, surtout, pas de soutien-gorge pour contenir sa somptueuse poitrine ! Le chemisier est quasi transparent, la tache sombre des larges aréoles brunes est clairement visible, et les deux lourds nichons se baladent dans tous les sens là-dessous à chacun de ses gestes. C’est un appel au viol, on lui dit et elle répond qu’il ne fallait pas la défier. Puis elle rompt le charme en précisant qu’il faut bien en profiter parce qu’elle se changera avant l’arrivée des autres clients. Lionel demande ce que ça donne avec un bouton en moins, l’idée amuse la patronne qui se déboutonne : ...
    ... maintenant, elle se lâche vraiment ! Le coup d’œil devient plus intéressant, il n’y a pas que la transparence, mais une vue plongeante dans la vallée qui sépare ses deux mamelles ; je me risque à lui dire que sa serveuse aurait défait un bouton de plus, ça la fait rire et elle s’exécute. Maintenant ses seins sont presque entièrement visibles, elle est chaude comme de la braise, mais Lionel dit « au boulot » et on doit partir. Elle minaude qu’on pourrait au moins lui faire chacun un bisou sur la joue pour lui souhaiter une bonne journée, ce que nous faisons. Avant de sortir, ma main frôle son nichon, pas de réaction ; alors je l’empaume et le soupèse carrément, appréciant au passage sa douce chaleur à travers le tissu du chemisier et là elle dit simplement : « dis donc ! », en regrettant sans doute que ça soit déjà pour nous l’heure de partir. Toute la journée nous avons fantasmé sur le décolleté de la patronne et sur ses gros seins appétissants, lourds et chauds, qui doivent si bien occuper les mains… À midi elle est redevenue classique, et nous nous vengeons dans l’ouverture du corsage d’Amandine la serveuse, nous régalant, encore plus que d’habitude, de la vue de ses petits tétons saillants. Le soir venu, après le souper, pas plus de monde au bar que la veille. Lionel paye sa tournée pendant qu’il fait le chèque pour régler la semaine de pension, puis la patronne met la sienne et dit : — Attendez cinq minutes, j’ai un truc pour vous. Elle disparaît à l’arrière mais revient ...
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