UNE SEMAINE DE VACANCES 2/2
Datte: 10/07/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... occuper. En attendant, je dois tenir ma promesse » dit elle en posant la main sur mon slip. Après une fellation matinale , je me réfugie, sous la tente, ma tête sortant de l’abri. Sandra, fait passer par dessus sa tête son long tee-shirt qui lui sert de chemise de nuit, et s’étend nue sur un drap de bain. Elle lit un romant à l’eau de rose qui doit lui faire de l’effet, car, de temps en temps, elle passe sa main sur son minou, maintenant entrouvert. Décidément elle s’est bien libérée. Je dois aller me doucher pour me débarrasser de cette couche de lait solaire, qui a séché sur ma peau brulante. En partant, ma serviette à la main, je passe devant l’emplacement des suédois. Stefan, est en train de lire un magazine ; il me salue d’une signe de la main. Anna, en long T-shirt, me lance un « bonjour ! » tonique. Elle est en train de ramasser le linge mis à sécher sur une corde. A chaque fois qu’elle lève les bras pour atteindre le fil, le tissu remonte, dévoilant sa chatte imberbe. Je passe un long moment sous la douche qui me réhydrate et me fait du bien. En sortant, je suis requinqué, mais je sens la morsure du soleil sur la nouvelle peau tendre. Je me hate de regagne ma tente. Sandra vétue de ses lunettes de soleil, bouquine toujours. Quelques minute plus tard, nous voyons arriver Anna, vétue d’un paréo jaune et transparent, sous lequel elle ne porte qu’un bas de maillot arachnéen. Elle vient voir si nous irons nous baigner.Je lui dis que je vais rester à l’abri, et je lui ...
... montre mes brûlures. Elle prend un air affligé, mais je lui annonce que Sandra se joindra volontiers à eux. Elle se baisse vers moi, et m’embrasse sur les joues, puis va embrasser Sandra, une main s’attardant sur sa poitrine avant de descendre effleurer son sexe entrouvert. Après un frugal déjeuner, Sandra, est partie avec nos amis suédois, et j’en profite, pour faire une sieste. Elle revient en fin d’après midi, et m’enjoint de l’accompagner aux sanitaires. Nous nous enfermons dans une cabine, et Sandra, se baisse pour gober ma queue, a demi-érigée. Une savante succion, achève de lui redonner une rigidité. Dans l’espace, fermé par des cloisons qui ne vont pas jusqu’au plafond, on entend souvent des gémissements de plus en plus forts. Sandra s’interromp un instant et me montre la cloison en chuchotant : « c’est eux. » Avec un sourire malicieux, avant d’absorber mes couilles l’une après l’autre. Des coups sourds résonnent contre la cloison et la jeune femme, à côté, donne de la voix. Sandra s’active sur mon sexe, ses mains complétant la caresses de sa bouche. Je sens le plaisir monter en moi. Sandra se dégage, sans cesser de me branler et j’envoie plusieurs jets de sperme sur son visage et sur ses seins. De l’autre côté de la cloison, Anna crie son pllaisir, à l’unisson de Stéfan, Lavés, sêchés, parfumés, nous sortons de la douche, en même temps que nos voisins. Stefan, en bermuda et débardeur, me fait un signe de tête et Anna, est toujours vétue de son paréo, sans rien dessous. ...