secretaire boulotte 4
Datte: 13/02/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... bras du fauteuil, mon sexe tendait mon jean.En continuant à lui dicter, j’ouvrais doucement un grand tiroir du bureau et en sortais un rouleau de film étirable, le même modèle que la veille…Tout en continuant à frapper, elle se mit à trembler, les erreurs ne frappent s’accentuaient…‘Non svp, monsieur !’‘Continuez ! Quand vous aurez fini votre saisie, vous viendrez au milieu du bureau !‘S’il vous plait !’‘Vous faites vraiment trop d’erreur de frappe, je dois encore vous corriger !’Docilement elle finit par venir me rejoindre au milieu de la pièce.Comme la soumission de cette fille m’excitait !Je pris le film et commençais à lui lier les poignets en lui croisant les avant bras dans le dos.Je m’accroupis et lui liais les chevilles. Elle pleurnichait mais ne bougeait pas.Une fois les chevilles immobilisées, je déployais doucement le film pour remonter les long de ses mollets, puis ses genoux. Son équilibre était précaire.Je tirais de plus en plus sur le film en l’enroulant. Le film épousait parfaitement ses formes, son cul, ses hanches, son ventre. En arrivant au niveau de la taille, je la comprimais fortement pour mettre en valeur ses formes. Puis j’englobais ses bras immobilisés. Le film comprimait ses seins, tellement que je voyais ses tétons dressés qui pointaient. Elle respirait fort et ouvrait la bouche.J’étais l’araignée qui empaquetait sa proie dans sa toile, sa mouche. Celle ci ne se débattait pas et semblait même y prendre du plaisir !J’arrivais enfin au cou, je fis ...
... plusieurs tours et arrêtais.Elle titubait, perdait l’équilibre, était oppressée par sa gaine de plastique qui lui écrasait les poumons.Je la fis assoir ou plutôt s’écrouler sur une chaise, dans un crissement du film tiraillé. Ses courbes généreuses étaient offertes comme si elle était nue.J’ouvris un placard coulissant et amenais deux bouteilles d’eau et un entonnoir, que je lui enfilais de force dans la bouche.‘Tu vas beaucoup suer, il faut boire !’Et je retournais la bouteille dans l’entonnoir en lui bloquant la tête en arrière. Elle s’étouffait, crachait, reprenait son souffle, essayait de protester. Au bout de 2 l elle n’en pouvait plus. Je nettoyais l’eau au sol et sortais du bureau en lui laissant reprendre son souffle.Un ¼ d’heure plus tard je revins, son collant enroulé dans la main. Je lui fis ouvrir la bouche et l’enfournais malgré ses lamentations, je filmais le tout solidement.Son collant déjà poisseux de mon sperme allait se gorger de sa salive. Elle n’allait pas tarder à sentir ma surprise ! Elle ne pourrait même pas déglutir et allait garder mon précieux liquide pendant quelques temps !Voila ! mon paquet était prêt !Je la levais et la trainais jusqu’au placard. J’avais libéré une place ce matin sous la penderie, au milieu des chaussures sales et de ramettes de papier. Je la plaçais sur le dos et soulevais ses jambes.Elle commençait à s’affoler et criait et se débattait. J’attachais ses chevilles sous la penderie, je la bourrais contre le mur pour pouvoir refermer ...