1. Les hauts et les...bas (3)


    Datte: 13/02/2018, Catégories: Transexuels

    ... un visage discrètement maquillé. Un chemisier couleur chair laissant devenir en légère transparence un soutien gorge noir redresseur de petites pointes, une jupe noire un peu plus courte et ample que d’habitude et de jolis talons. « Ceux-là, me dit-elle, je les ai mis en route... au moment où j’ai enlevé ma culotte ». Et elle retrousse un instant sa jupe : sa chatte se découpe entre les bas tirés par des jarretelles... Bandante la petite, littéralement transfigurée. — « et votre mari, il vous a vue ? » — « je lui ai dit que c’était le printemps et je l’ai laissé m’enfiler une banane juste après le repas hier soir. Un de ses vieux fantasmes que je lui refusais... je me suis dit que c’était mieux pour nous deux d’acheter la paix de ce coté là. Je pense que j’aurai droit à d’autres introductions mais bon, ça fait de l’exercice. Ensuite une pipe et au lit ». Elle jette enfin un regard sur ma tenue. « Vous êtes classe...un peu salope si j’ose, mais classe ». Nous nous étreignons et nos mains parcourent nos corps, petites têtes chercheuses d’étonnement, de sensualité et d’interdit. Ses seins et les miens qu’elle sait stratégiques, sa jupe et le haut de ses bas, sa bouche un instant. La chatte contre le tibia Béatrice veut se mettre en blouse pour se mettre au travail et passe dans le vestiaire pour y déposer aussi sa doudoune. Je trouve que c’est un peu dommage jusqu’à ce que je la voie ressortir... La blouse est aussi fine que courte, elle est portée sans jupe et sans chemisier, ...
    ... comme une nuisette. Ses talons paraissent encore plus hauts et sa chevelure plus angelique. Ou diabolique. Je mouille et elle s’agenouille. sfyszzw « Ta queue de femme, donne-moi ta queue de femme.... » me dit-elle. Ses mains partent à l’assaut de mes fesses et de ma raie. Elle passe de la position à genoux à celle où elle est accroupie ce qui fait qu’elle me dévore mais réussit en même temps et à se frotter la chatte contre mon tibia gainé de résille.... impossible de reconnaître la timide employée d’il y a quelques semaines. En cinq minutes elle assure les finitions et part repasser. Un ange est passé... peut être un démon ! Tout cela s’est déroulé tellement vite. Je titube sur mes talons, me sens un peu cloche face à elle. Envie de la trousser, de la sauter, de lui défoncer le cul, de lui planter moi aussi une banane dans la chatte...à moins que je n’aie surtout envie de me faire prendre et violer, de me faire traiter comme une chienne mais faut que je me calme. Je remonte dans la chambre et me pose sur mon lit. Elle poursuit son repassage, le cliquetis du fer, le bruit de la vapeur.... Les chaines de la consolation Je l’appelle, elle monte et me trouve allongée, les pieds en dehors du lit. Elle me console sans dire grand chose et se glisse auprès de moi. Sa blouse, ses seins, ses jambes fines et le souvenir de la femme prude qu’elle était me font reprendre vigueur. Elle sort de la poche de sa blouse une petite boite. Ouverte elle révèle, comme un bijou, de fines chaines ...