Lolo, ma salope à moi
Datte: 15/02/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
hdomine,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
fsoumisah,
Descente de voiture difficile, temps gris, le digicode qui résonne dans le hall… La porte vitrée grince et puis c’est l’ascenseur, avec son bouton qui clignote : noir, rouge, noir, rouge, ça n’en finit pas. C’est sordide mais l’escalier est plus triste encore ; mieux vaut attendre devant les portes en aluminium qui s’ouvrent depuis que j’ai quinze ans. Deux minutes qui semblent une éternité. Une fois à l’intérieur de la cabine, le miroir me renvoie une image de solitude mal éclairée. Les parois anti-graffitis ne laissent rien s’accrocher, ni les tags, ni les émotions ; pourtant ça tourbillonne dans tous les sens, ça part des tempes et ça descend jusqu’au bas-ventre à en faire mal. Tout me revient à une vitesse fulgurante, des mois entiers en quelques secondes : la première impression en la voyant dans un groupe auquel elle n’appartient pas. Ses mains aussi fines que fermes, crispées sur des imprimés à compléter. Une trace de rouge à lèvres sur un mégot, un gobelet en plastique qui tombe dans un distributeur de boissons chaudes, un cendrier trop plein dans sa voiture… Enfin une à qui je peux tout dire, ironie, intelligence, humour, complicité, tout y est. Bizarre quand on pense que tout nous sépare : elle se bat et croque la vie, c’est tout le contraire pour moi. Il fait froid cet hiver-là et son parfum réchauffe l’habitacle de la bagnole. Ça ne dure pas, je vois déjà ce maudit pont blanc ; à chaque voyage, c’est là que nos routes se séparent. Presque un an déjà. Tiens donc, ...
... elle me manque, ma Lolo. Je me surprends à penser à elle de temps en temps, surtout dans le jardin. Qu’est-ce qu’elle vient foutre dans mes rêves ? Quand je me lève, je bande comme un âne. Je vois ses nichons qui pointent sous son chemisier blanc… Retour dans ce maudit ascenseur : le deuxième étage me ramène à la réalité, après la porte blindée, la délivrance. Je vais pouvoir soulager ces couilles pleines, prêtes à exploser. J’empoigne sa chatte à travers le jean. Vite, vite, à la salle de bain. Lumière ou pas lumière ? Les yeux ouverts ou les yeux fermés ? Autant que ce soit le plus violent possible : — Allez ma Lolo, tu veux de la bite, tu vas en avoir. Je la prends par les épaules et la force à s’agenouiller devant moi. — Voilà, à genoux, c’est bien, bouge plus. Plusieurs fois, tu m’as laissé sous-entendre que t’étais la reine de la pipe, on va vérifier ça tout de suite. Sans se presser, d’une main experte, elle défait ma ceinture et baisse mon froc jusqu’aux chevilles. Je bande tellement que mon gland sort de mon caleçon. Elle me branle un peu à travers le tissu et baisse la bande élastique sous mes couilles. C’est vrai, elle est bonne suceuse et elle le sait. Elle lèche tout doucement au début puis elle enroule sa langue autour du gland, et remets le tout dans sa bouche. Je l’encourage : — Allez, c’est bien, suce-moi comme une chienne en chaleur, lèche bien mes couilles. Dès que la jouissance approche, je l’interromps : — Attends, stop, déshabille-toi, enlève que le bas, ...