Une belle étrenne
Datte: 15/02/2018,
Catégories:
hh,
inconnu,
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hsoumis,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
confession,
Gay
... laisser sortir ma bite. Elle était encore un peu molle, mais sous l’effet de mes doigts et de la pensée que je pouvais être vu par mon voisin, elle commença à prendre de l’ampleur. Je commençai à me branler en soupirant un peu pour attirer son regard. Quel qu’il soit, j’avais soudain le désir que cet homme touchât au moins ma queue. Il faisait plus que soupçonner mon activité, à mon avis, et s’il ne changeait pas de place ou n’avait aucun geste de rejet ou d’agressivité envers moi, c’est que cela pouvait lui plaire. En tout cas, ce petit jeu m’excitait de plus en plus ! Le plus discrètement possible, tout en continuant ma caresse, je jetai un coup d’œil vers lui. Il venait de se lever. Allait-il partir ou me tabasser en me traitant de pédé, ou alors simplement s’asseoir à côté de moi ? Mon cœur n’eut pas le temps de battre la chamade que la dernière possibilité se réalisa, il était maintenant à mes côtés. Collé à moi, il me regardait et me dit doucement à l’oreille : — Alors, tu es un petit pédé qui aime se branler devant les hommes ?— Oui. Il m’humiliait et j’aimais ça. — Tu veux me branler, la mienne est plus grosse ?— Oui. Je n’avais pas osé espérer aussi bon scénario. — Allez, vas-y, sors ma bite. Il écarta les jambes, il me paraissait moins vieux et moins gros qu’au premier abord. Je descendis la fermeture éclair et je pressentis que l’engin que je frôlai au travers du tissu de son slip était un engin de belle taille. J’étais pressé de le découvrir. L’homme, lui, ...
... semblait se désintéresser et continuait de regarder l’écran où un noir enculait profondément une grosse blonde. Je ne pouvais pas sortir son engin, cela coinçait, il était trop gros. Il fallait qu’il m’aide. Le comprenant, il se souleva et je pus faire descendre son slip, découvrant un sexe très long, et déjà très dur. Quel bel engin ! — Vous avez une belle bite.— Fais-en tout le plaisir que tu souhaites. Il parlait maintenant avec de la distinction, et je sentais dans sa voix comme de l’émotion. J’avais rarement eu l’occasion de connaître de près de tels engins chez un blanc, et pourtant qui sait combien j’avais eu l’occasion d’en voir, d’en caresser, de me faire sodomiser par des bites. Mais des aussi grosses dans le cul, ça, jamais, je ne sais si le bonheur l’aurait emporté sur la souffrance. En faire tout le plaisir que je souhaite, on ne pouvait dire mieux ! Je me mis à la caresser, elle se tendit de plus en plus et devint de plus en plus lourde sous mes doigts. Il maugréait doucement, semblant y trouver beaucoup de plaisir. Cela me satisfaisait. D’une main je caressais sa colonne et de l’autre ses deux couilles. Il n’était pas poilu et ça, j’ai toujours adoré ! Je sentis une présence dans notre dos, cela ne semblait pas gêner mon amant de rencontre. Rajouter du voyeurisme à notre exhibition, voilà qui redoublait mon bonheur. J’étais content, j’étais un sale petit pédé et j’aurais voulu que tous les mâles le sachent ! J’étais un sale petit pédé qui aimait branler, sucer et se ...