1. Post Mortem


    Datte: 16/02/2018, Catégories: ff, ffh, hotel, Oral pénétratio, jeu,

    ... se levèrent à son approche et vinrent à sa rencontre, pour se jeter presque dans ses bras. Et elles vinrent l’embrasser avec passion. Tour à tour, puis ensemble. Et tandis que leurs langues se mêlaient à la sienne, leurs mains venaient explorer son intimité par-dessous le peignoir. Il bandait à tout rompre et savourait leur jeu et leurs caresses expertes. Mais elles s’arrêtèrent soudain, se reculèrent de quelques pas, et le défièrent avec autant de malice qu’il en avait lue dans les regards de l’autre. Elles baissèrent une dernière fois les yeux vers sa queue qui pointait, puis tournèrent les talons et sortirent à leur tour en tortillant leurs derrières sous ses yeux avides. Il regarda une dernière fois la porte par laquelle était sortie la fille qu’il avait suivie pour arriver là, mais n’hésita qu’une fraction de seconde avant de suivre presque en courant les deux bombes qui venaient de l’abandonner là, transi d’excitation. En entrant dans un nouveau couloir, il tenta maladroitement de cacher son érection, au cas où il aurait croisé quelqu’un. Mais il n’y avait personne d’autre que les deux jeunes femmes qui s’empressaient d’aller franchir une nouvelle porte. Il courut derrière elle et déboucha finalement dans un autre salon, meublé comme les autres, mais vide. Où étaient-elles donc passées ? Il y avait là encore, deux autres portes. Mais à la différence de celles des précédents salons, celles-ci étaient des portes vitrées. Il s’approcha de la première et regarda à ...
    ... travers, espérant retrouver ses deux proies. Mais ce qu’il devina le surprit; il entrevit la silhouette d’une femme, assise dans un fauteuil avec un chat sur ses genoux, en train de le caresser paisiblement. L’ayant sans doute aussi remarqué, elle leva les yeux en direction de la vitre et leurs regards se croisèrent l’espace de quelques secondes. Elle était très belle, elle aussi, mais ne lui inspirait aucune excitation, aucun désir. Il ne lisait dans ses grands yeux verts que calme et quiétude. "Tristesse peut-être aussi.", pensa-t-il. Il détourna son regard sans réfléchir, sans chercher à comprendre, pour aller regarder à travers la seconde porte vitrée. Et là ce fut une vision dantesque. Les cinq jeunes femmes qu’il avait rencontrées depuis qu’il s’était réveillé, les cinq qui avaient joué avec lui se trouvaient là, derrière cette porte, en train de se caresser, de s’embrasser, de se masturber, de se lécher mutuellement. Elles se mordillaient les seins. Elles se glissaient des doigts dans leurs sexes. Elles suçaient leurs doigts. Elles léchaient leurs sexes. Elles s’embrassaient longuement. Et tout ça sous ses yeux surexcités. Il les contempla un petit instant, le temps que son sexe pointe à nouveau gonflé à bloc sous son peignoir. Et l’une des filles l’aperçut au travers de la vitre. Elle fit un signe à ses camarades de jeu, qui prirent des poses encore plus aguicheuses, plus excitantes que jamais. Elles se doigtèrent de concert en lui faisant signe de les rejoindre. Il bavait ...
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