1. Rencontre fortuite


    Datte: 16/02/2018, Catégories: fh, jeunes, couleurs, inconnu, train, intermast, Oral pénétratio, occasion,

    ... culotte, dans la fourche de ses cuisses. Il y faisait clairement humide. J’entrepris d’y glisser un deuxième doigt, puis un troisième, puis toute la main… Je ne parvenais pas à réaliser que cette situation était réelle : j’étais en train de masturber une magnifique inconnue dans un tram, devant tout le monde ! Je sentais qu’elle essayait de rester imperturbable mais elle ne pouvait s’empêcher de se tortiller sous l’effet du plaisir. Elle finit, quelques minutes plus tard, par pousser un long soupir. Elle n’avait pu totalement réprimer son orgasme. Une femme se retourna vers elle un instant, intriguée par ce soupir si particulier, puis se replongea dans son magazine. De mon côté, je sentais ma verge sur le point d’exploser tellement cette magnifique créature m’excitait. Même collés comme nous étions, il m’aurait été difficile de la pénétrer là, sur place, alors que j’en crevais d’envie. Il aurait fallu que je déboutonne mon pantalon, et que je remonte d’une marche ou deux ! La situation, excitante au départ, en devenait frustrante. J’avais peur que le tram s’arrête et qu’elle descende, avant même que j’ai pu éjaculer en elle. Je ne pouvais plus tenir… Ma belle Équatorienne se retourna à nouveau, me fit un grand sourire et, me regardant dans les yeux, me murmura : — Viens ! Elle avait une voix exquise ! J’étais envoûté par la personnalité qu’elle dégageait, par son parfum, par le souvenir de son orgasme si puissant… Le tram s’arrêta, et elle poussa les gens devant elle ...
    ... pour descendre. Je n’eus qu’un court instant d’hésitation, et je la suivis. Elle m’entraîna dans un quartier que je ne connaissais pas. Elle marchait devant moi, à un ou deux mètres de distance, en tortillant son petit cul de déesse. J’en devenais littéralement dingue ! Le désir montait en moi, mon entrejambe gonflé à bloc. Je me demandais où elle pouvait bien m’emmener. Elle s’enfonça dans une petite rue, s’arrêta devant une porte, sortit une clef de son petit sac et ouvrit la porte. Elle s’y engouffra en la laissant ouverte. Je la suivis, hypnotisé par le balancement de ses hanches et le maintien de ses épaules. Elle monta au premier étage et m’attendit, devant sa porte ouverte, les yeux rieurs. Je crus à cet instant qu’elle allait me dire de rentrer chez moi, qu’elle s’était jouée de moi et qu’elle ne m’avait entraîné chez elle que pour voir jusqu’où allait son pouvoir de séduction. Mais, à ma grande surprise, elle me fit entrer, me poussa jusqu’à un large canapé trois places sans accoudoir. Elle se jeta dessus, sur le dos, enleva sa culotte et écarta les cuisses. — Lèche-moi ! me susurra-t-elle, les yeux fripons. La vision de cette fille étendue paresseusement sur le dos, les cuisses écartées, sa toison noire fournie, son clitoris offert… Je me ruai sur elle et plongeai ma langue entre ses cuisses. Elle, les jambes relevées vers le ciel, profitait de ce moment qui semblait lui être agréable. Je lapais son sexe avec entrain depuis quelques minutes, excité par ses petits ...