1. Les démons de Noémie (11)


    Datte: 10/07/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... vieux se redressa et colla sa queue sur la joue rosie de Noémie. Elle la saisit et la branla lentement. Le troisième larron ne voulut pas être en reste et imita ses deux collègues. La belle asiatique s’occupait à présent des trois membres durs et puants en même temps, un dans chaque main et un dans la bouche, alternativement. Noémie était surexcitée et suçait avec ardeur les trois types. Dehors, Géraldi regardait la scène en souriant. Soudain, le gros partit s’asseoir dans le fond, dos contre la séparation de la cabine et tira la jeune femme vers lui. Elle écarta les jambes et s’empala sur la bite tendue, face à l’ouvrier. Ce dernier s’empressa de saisir les fesses dorées et de les pétrir tout en bourrant la chatte en feu de la belle métisse. Il lécha chaque sein en mordillant les tétons. Noémie bougeait rapidement son bassin, ses mains agrippées aux épaules du gros. Il sentait très fort et sa grosse langue râpeuse passait et repassait sur ses seins durs. Il la défonçait de plus en plus violemment. Le vieux s’approcha et enfourna sa langue dans la bouche de la jeune asiatique. Elle ferma les yeux, en transe et accéléra sa cadence. La bite du gros s’enfonçait au plus profond de sa chatte. Il finit par s’allonger et Noémie, toujours au dessus, offrit son petit trou à qui voulait bien. Elle gémissait fortement et tout son corps réclamait ces queues. Le vieux se positionna à l’entrée de son anus et s’enfonça d’un coup. Il la pilonna en cadence avec son ami. Le dernier vint ...
    ... planter sa queue dans la bouche pulpeuse. — "Oh qu’elle est bonne, la salope !", lança le vieux. — "Ouais, bordel ! Vas-y, bouges sur ma bite, salope ! T’en voulais des sensations fortes, hein ? », hurla le gros. Noémie, la bouche prise, étouffait des cris de plaisir. Elle ondulait tout son corps pour encore mieux sentir les deux bites en elle. La double pénétration était devenue pour elle une source d’orgasme intense. Elle adorait ça, au-delà du « trouble ». Elle ne serait plus jamais la même à présent. Le moustachu l’attrapa par les cheveux et enfonça son pieu au plus profond de sa gorge. Elle manqua de vomir mais continua de sucer à fond. Les deux types avaient accéléré et la défonçaient violemment. Tout le fourgon bougeait et faisait des bruits étranges. Dehors, Géraldi filmait avec son téléphone. Il se régalait du spectacle de cette jeune et belle femme baisée par ces types repoussants. Et se félicitait de pouvoir la contrôler à loisir et lui faire faire ce qu’il voulait. Il jetait un œil de temps en temps sur les ouvriers qui travaillaient au loin, mais ils n’avaient visiblement encore rien remarqué. A l’intérieur du fourgon, les trois ouvriers s’acharnaient sur les trous de la belle Noémie. Le moustachu avait pris la place du vieux dans le cul béant et ce dernier se faisait sucer goulûment, tandis que dans la chatte ruisselante et écartelée, le gros allait et venait à un rythme fou. Tous transpiraient et les odeurs se mélangeaient. Les types grognaient et grimaçaient, ...
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